Kamala Harris accusée d’avoir financé des célébrités : révélations sur des paiements secrets

Emmanuel Macron - McFly et Carlito
Emmanuel Macron - McFly et Carlito

Une série de révélations explosives autour de la campagne présidentielle de Kamala Harris secoue le débat politique américain. Selon des documents consultés par plusieurs médias américains, dont le Washington Free Beacon et Deadline, la vice-présidente aurait indirectement rémunéré plusieurs célébrités majeures pour leur soutien public. Les noms cités ? LeBron James, Beyoncé, Lady Gaga, Cardi B… et même Oprah Winfrey.

Des paiements dissimulés sous des “services de production”

La campagne de Kamala Harris aurait déboursé des centaines de milliers de dollars à des entreprises appartenant à ces personnalités ou à leur entourage immédiat. Ainsi, la société SpringHill Entertainment, cofondée par la star de la NBA LeBron James, aurait reçu 50 000 $ pour la production d’un spot anti-Trump intitulé « Hate Takes Us Back ».

Un détail intrigant : le paiement officiel n’est intervenu que le 28 janvier 2025, soit après l’investiture de Donald Trump, remettant en cause la nature strictement électorale de cette dépense.

Beyoncé, Cardi B, Lady Gaga : des cachets mirobolants pour quelques minutes

La campagne aurait également payé :

  • 165 000 $ à l’équipe de Beyoncé pour une intervention de 4 minutes lors d’un meeting à Houston.
  • 58 867 $ à la société Washpoppin INC. de Cardi B pour « production d’événement ».
  • 132 753 $ à Mermaid Touring, société affiliée à Lady Gaga.
  • 98 000 $ à TGK Touring, entreprise du chanteur Khalid.

La plus grosse somme ? Un chèque d’1 million de dollars adressé à la société de production d’Oprah Winfrey.

Une pratique bien plus globale qu’il n’y paraît

Cette stratégie d’enrôlement des figures médiatiques, bien qu’ultra visible aux États-Unis, n’est pas sans écho en Europe.

🇫🇷 Macron et McFly & Carlito : la mise en scène comme levier politique

En France, Emmanuel Macron a invité les youtubeurs McFly & Carlito à l’Élysée pour une vidéo virale diffusée en pleine période pré-électorale. Officiellement “anecdotique”, cette opération visait clairement les jeunes électeurs. À l’instar des collaborations entre Kamala Harris et LeBron James, il s’agit là d’une forme douce de propagande 2.0, sans déclaration officielle… mais aux effets bien réels.

🇮🇹 Berlusconi, maître de l’influence scénarisée

Silvio Berlusconi, en Italie, a longtemps incarné cette fusion entre show-business et pouvoir. Possédant ses propres chaînes TV, il utilisait ses ressources médiatiques pour bâtir une image omniprésente, séduisante, et redoutablement efficace. Il ne rémunérait pas des célébrités : il les fabriquait.

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