En 2023, l’US Navy filme à nouveau un engin inconnu s’élevant de l’océan. Un ovni tic tac. Trois ans après les témoignages au Congrès américain sur la récupération de « véhicules d’origine non humaine », une question devient de plus en plus légitime : certains de ces phénomènes pourraient-ils provenir des profondeurs de nos océans ?
Une série d’observations militaires accrédite l’existence d’objets transmediums, capables de voler et de plonger, localisés dans une zone restreinte de l’océan Pacifique au large de la Californie — suggérant une origine sous-marine encore inconnue.
Table des matières
- 1. Le contexte militaire : USS Jackson, 2023
- 2. Qu’est-ce qu’un objet transmedium ?
- 3. L’anomalie de la zone militaire 291
- 4. Le précédent de 2004 : USS Nimitz et la chute supersonique
- 5. Données techniques : ce que montrent vraiment les FLIR
- 6. Vers une base sous-marine ? Hypothèses océanographiques
- 7. Reverse engineering et implications géopolitiques
- 8. Ce que dit la science : propulsion gravitationnelle et énergie libre
- 9. Références croisées et sources officielles
1. Le contexte militaire : USS Jackson, 2023
En juillet 2023, un opérateur du Combat Information Center (CIC) du navire USS Jackson, équipé du système infrarouge SAPPHIRE FLIR (Forward Looking Infrared), observe un objet sortant de l’eau. L’appareil est décrit comme « auto-lumineux, sans ailes, sans échappement thermique visible ». La scène est capturée par une caméra militaire de qualité tactique. D’après les données radar, quatre objets auraient été présents dans l’espace aérien restreint. Deux sont enregistrés en vidéo, tous effectuent un départ parfaitement synchrone.
2. Qu’est-ce qu’un objet transmedium (ovni tic tac) ?
Un objet transmedium est un véhicule capable de passer de manière fluide d’un environnement à un autre — air, mer, espace — sans perte de contrôle ni changement visible de propulsion. Ces objets défient l’effet de traînée, la turbulence de cavitation, et les signatures infrarouges attendues. L’US Navy utilise ce terme dans ses rapports internes classés UAP.

3. L’anomalie de la zone militaire 291
La Warning Area 291, au large de San Diego, revient dans trois événements majeurs :
- Le Tic Tac Incident de 2004 (USS Nimitz)
- Les enjambées radar de 2019 (USS Omaha et autres destroyers)
- La vidéo de 2023 (USS Jackson)
Cette persistance géographique pourrait indiquer une structure fixe sous-marine ou un point d’entrée stratégique.
4. Le précédent de 2004 : USS Nimitz et la chute supersonique
Le 14 novembre 2004, plusieurs pilotes de chasseurs F/A-18 Super Hornet embarqués sur l’USS Nimitz repèrent visuellement un objet blanc, oblong. L’objet tombe de 80 000 pieds à la surface de l’eau en moins de 1 seconde — sans bang supersonique. Le radar AN/SPY-1 et l’imagerie FLIR confirment sa présence.
5. Données techniques : ce que montrent vraiment les FLIR
- Pas de signature thermique d’échappement
- Pas d’aile, pas de gouverne
- Trajectoires instantanées, sans turbulence
En physique, cela suppose une source d’énergie non conventionnelle avec maîtrise de l’inertie (effet Alcubierre, MHD, etc.).

6. Vers une base sous-marine ? Hypothèses océanographiques
Des témoins évoquent une possible base sous-marine dans les failles profondes au large de Guadalupe Island. La zone atteint 3 500 mètres de profondeur et reste difficile à explorer. Aucun sous-marin connu n’a été détecté lors des événements. L’hypothèse d’un abri naturel ou technologique immergé gagne en consistance.
7. Reverse engineering et implications géopolitiques
David Grusch affirme sous serment que les États-Unis détiennent des matériaux d’origine non humaine. Jeremy Corbell parle d’« une guerre froide technologique », où la maîtrise de la propulsion avancée déciderait de l’hégémonie future.
8. Ce que dit la science : propulsion gravitationnelle et énergie libre des ovnis tic tac
- Gravité dynamique : contrôle de l’inertie (théorie Heim)
- Effet Casimir : énergie issue du vide quantique
- Magnétohydrodynamique : déplacement par champs électromagnétiques dans un fluide
Des recherches existent au sein de la DARPA ou de la NASA.