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Alors que Tesla traverse une crise majeure, que ses relations avec Washington se tendent, Elon Musk serait en train de mener un projet personnel encore plus audacieux : engendrer jusqu’à 5 000 enfants. Non par romantisme, mais par calcul stratégique. Selon plusieurs révélations croisées (Times of India, Business Insider, Washington Post), Musk envisagerait l’avenir humain comme un enjeu démographique et génétique auquel il compte répondre personnellement.
Table des matières
- Des tensions politiques explosives
- Un projet génétique froid et calculateur
- Sélection des mères et accords de confidentialité
- L’obsession pour la survie humaine et Mars
- Vers un nouveau modèle de reproduction élitiste ?

Des tensions politiques explosives
Les tensions entre Musk et la Maison Blanche n’ont jamais été aussi vives. Selon Politico, il aurait eu plusieurs altercations violentes avec des hauts fonctionnaires, notamment autour de la régulation de l’intelligence artificielle militaire et des contrats spatiaux de SpaceX.
Donald Trump, qui fut un soutien par le passé, parlerait désormais de Musk au passé, estimant qu’il est devenu « incontrôlable et imprévisible ». À cette crise d’image politique s’ajoute l’effondrement des bénéfices de Tesla et les critiques virulentes sur la gestion de ses entreprises, parfois accusées d’entraver les régulations environnementales et de surexploiter leurs employés.

Un projet génétique froid et calculateur
Mais dans l’ombre, Musk poursuit un projet personnel encore plus ambitieux : engendrer jusqu’à 5 000 enfants, non par désir romantique, mais par conviction quasi darwinienne. Le Times of India cite plusieurs proches selon lesquels Musk considère la reproduction non comme un acte sentimental, mais comme un devoir génétique envers l’humanité.
Son approche est froide : « Pas de romance, juste du sperme », résume un collaborateur anonyme. Pour Musk, l’objectif serait de léguer ses propres qualités — intelligence, ambition, audace — à un maximum de descendants, pour renforcer l’espèce humaine face aux défis futurs.

Sélection des mères et accords de confidentialité
Selon des informations recoupées par Business Insider et DailyMail, Musk aurait établi une sélection stricte des mères potentielles : femmes brillantes, issues des milieux scientifiques ou technologiques, et physiquement attirantes.
Des accords de confidentialité (NDA) seraient systématiquement signés. Les naissances sont organisées dans des cliniques privées ultra-sécurisées, et certaines mères bénéficieraient de soutiens financiers généreux… en échange d’une discrétion absolue.
Plusieurs enfants seraient ainsi nés dans le plus grand secret, notamment via Neuralink, l’une des sociétés de Musk, où certaines collaboratrices auraient accepté de porter ses enfants dans le cadre d’accords privés.
L’obsession pour la survie humaine et Mars
La logique sous-jacente à ce projet démesuré est claire : Musk est obsédé par la survie de l’espèce humaine, qu’il juge menacée par les risques existentiels (intelligence artificielle, effondrement démographique, changement climatique).
Dans cette vision, selon Future of Life Institute, multiplier la population « de haute capacité » serait crucial pour permettre la colonisation de Mars et au-delà. Musk considère la natalité comme un acte de sauvetage civilisationnel — et entend montrer l’exemple lui-même.
Vers un nouveau modèle de reproduction élitiste ?
Pour certains bioéthiciens, comme ceux du Center for Bioethics at Harvard, cette stratégie soulève de graves questions :
- Une reproduction concentrée entre les mains d’une élite technologique peut-elle dériver vers une forme moderne d’eugénisme privé ?
- Quels seraient les risques psychologiques pour les enfants issus d’un tel projet « industriel » ?
- Quelle gouvernance encadrerait les dynasties génétiques si elles devenaient transnationales et multipolaires ?
À travers son projet fou, Musk semble incarner les dilemmes profonds du XXIe siècle : l’utopie de sauver l’humanité par la technologie… ou la tentation d’imposer une nouvelle aristocratie génétique mondialisée.