Les bébés secrets d’Elon Musk : enquête sur une stratégie de reproduction ultra-contrôlée

Elon Musk / Amber Heard + bébé
Elon Musk / Amber Heard + bébé

1. Une bataille juridique passée sous silence

Un dossier judiciaire refait surface. Elon Musk aurait été engagé dans une bataille juridique contre l’actrice Amber Heard concernant des embryons conçus ensemble pendant leur relation (2016–2018). Selon le témoignage sous serment de Jennifer Howell — amie proche de la sœur d’Amber — l’actrice aurait tenté de conserver ces embryons, alors que Musk souhaitait les détruire.

Ce document, bien que non retenu dans le procès Depp v. Heard, relance aujourd’hui les spéculations autour de la filiation de la fille d’Amber Heard, née en avril 2021 via une mère porteuse.

Elon Musk enfants, Amber Heard embryons, Elon Musk Ashley St Clair, Elon Musk surrogates, Elon Musk paternité, Jared Birchall contrats, Elon Musk sperm donor, Elon Musk baby scandal
Elon Musk enfants, Amber Heard embryons, Elon Musk Ashley St Clair, Elon Musk surrogates, Elon Musk paternité, Jared Birchall contrats, Elon Musk sperm donor, Elon Musk baby scandal

2. Un réseau privé de mères porteuses ?

À ce jour, Elon Musk est père reconnu de 14 enfants — mais ce chiffre pourrait être bien plus élevé. D’après le Wall Street Journal, l’entrepreneur aurait mis en place un système confidentiel d’accords financiers avec plusieurs femmes afin d’avoir des enfants, souvent via gestation pour autrui.

Certains témoignages rapportent qu’il envisagerait de regrouper toutes ses compagnes et enfants dans un même quartier résidentiel sécurisé. Un projet évoquant une micro-communauté fondée sur son patrimoine génétique.

3. Ashley St. Clair, le contrat à 15 millions $

La dernière révélation en date concerne Ashley St. Clair, influenceuse politique américaine de 26 ans, qui affirme avoir reçu une offre de 15 millions de dollars, accompagnée d’un versement mensuel de 100 000 $, pour garder le silence sur leur enfant. Un test ADN aurait confirmé la paternité de Musk à 99,9999 %.

Elle révèle que Jared Birchall, bras droit de Musk, lui aurait imposé un accord de confidentialité très strict. Ce dernier serait chargé de négocier toutes les modalités avec les mères choisies, dans un contexte de discrétion extrême et contrôle contractuel total.

Amber Heard élève sa fille Oonagh Paige
Amber Heard élève sa fille Oonagh Paige

4. Heard, Madrid et la fille au père inconnu

Installée désormais à Madrid, Amber Heard élève sa fille Oonagh Paige seule, en revendiquant être à la fois « la mère et le père ». Elle n’a jamais révélé l’identité du géniteur. Mais elle a admis que sa décision de devenir mère remonte à 2017 — période où elle fréquentait Musk.

Un don de 250 000 $ à une fondation aurait même été effectué anonymement « au nom de Heard »… que Howell attribue directement à Musk.

5. Légion génétique et projet post-apocalyptique

Selon certaines sources, Musk verrait la reproduction comme une mission civilisationnelle. Il aurait déclaré en 2024 :

« J’encourage les gens à avoir beaucoup d’enfants. Moi-même, j’en ai beaucoup. »

Des témoignages évoquent même des propositions à des femmes japonaises influentes pour recevoir son sperme à des fins eugénistes. Il aurait aussi proposé à Tiffany Fong, influenceuse crypto, de concevoir un enfant sans relation amoureuse, uniquement pour la postérité génétique.

6. Un “fixer” pour tout contrôler

Jared Birchall, banquier et confident de Musk, serait l’homme-clé de ce dispositif. Il assurerait la logistique, les contrats de confidentialité, les transferts d’argent et la surveillance de la réputation des femmes sélectionnées.

D’après St. Clair, il aurait déclaré :

« Ne pas faire signer un accord pour 15 millions $, c’est de la folie. »

7. L’avis des experts en bioéthique

Ce système soulève de nombreuses questions éthiques. La concentration de patrimoine génétique par un individu ultra-puissant, l’usage systématique de mères porteuses, les accords financiers sous silence contractuel… Pour la biologiste américaine Dr. Sarah Kivens, interrogée par NPR :

« Ce n’est plus de la parentalité, c’est une stratégie de répartition génétique. »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Le Groenland, terre convoitée par Donald Trump

Pourquoi Donald Trump veut racheter le Groenland : argent, influence et guerre froide arctique

La scène de crime. Après avoir connu dans leur histoire tant de massacres impunis, les Ukrainiens mettent un point d’honneur à rassembler tous les éléments en vue de futurs procès. En médaillon, une photo ancienne d'Oksana. Elle n'avait que 25 ans quand elle a été tuée.

Viol comme arme de guerre : l’Ukraine face à l’horreur systématique du “viol russe”