- 1. Une bataille juridique passée sous silence
- 2. Un réseau privé de mères porteuses ?
- 3. Ashley St. Clair, le contrat à 15 millions $
- 4. Heard, Madrid et la fille au père inconnu
- 5. Légion génétique et projet post-apocalyptique
- 6. Un “fixer” pour tout contrôler
- 7. L’avis des experts en bioéthique
1. Une bataille juridique passée sous silence
Un dossier judiciaire refait surface. Elon Musk aurait été engagé dans une bataille juridique contre l’actrice Amber Heard concernant des embryons conçus ensemble pendant leur relation (2016–2018). Selon le témoignage sous serment de Jennifer Howell — amie proche de la sœur d’Amber — l’actrice aurait tenté de conserver ces embryons, alors que Musk souhaitait les détruire.
Ce document, bien que non retenu dans le procès Depp v. Heard, relance aujourd’hui les spéculations autour de la filiation de la fille d’Amber Heard, née en avril 2021 via une mère porteuse.

2. Un réseau privé de mères porteuses ?
À ce jour, Elon Musk est père reconnu de 14 enfants — mais ce chiffre pourrait être bien plus élevé. D’après le Wall Street Journal, l’entrepreneur aurait mis en place un système confidentiel d’accords financiers avec plusieurs femmes afin d’avoir des enfants, souvent via gestation pour autrui.
Certains témoignages rapportent qu’il envisagerait de regrouper toutes ses compagnes et enfants dans un même quartier résidentiel sécurisé. Un projet évoquant une micro-communauté fondée sur son patrimoine génétique.
3. Ashley St. Clair, le contrat à 15 millions $
La dernière révélation en date concerne Ashley St. Clair, influenceuse politique américaine de 26 ans, qui affirme avoir reçu une offre de 15 millions de dollars, accompagnée d’un versement mensuel de 100 000 $, pour garder le silence sur leur enfant. Un test ADN aurait confirmé la paternité de Musk à 99,9999 %.
Elle révèle que Jared Birchall, bras droit de Musk, lui aurait imposé un accord de confidentialité très strict. Ce dernier serait chargé de négocier toutes les modalités avec les mères choisies, dans un contexte de discrétion extrême et contrôle contractuel total.

4. Heard, Madrid et la fille au père inconnu
Installée désormais à Madrid, Amber Heard élève sa fille Oonagh Paige seule, en revendiquant être à la fois « la mère et le père ». Elle n’a jamais révélé l’identité du géniteur. Mais elle a admis que sa décision de devenir mère remonte à 2017 — période où elle fréquentait Musk.
Un don de 250 000 $ à une fondation aurait même été effectué anonymement « au nom de Heard »… que Howell attribue directement à Musk.
5. Légion génétique et projet post-apocalyptique
Selon certaines sources, Musk verrait la reproduction comme une mission civilisationnelle. Il aurait déclaré en 2024 :
« J’encourage les gens à avoir beaucoup d’enfants. Moi-même, j’en ai beaucoup. »
Des témoignages évoquent même des propositions à des femmes japonaises influentes pour recevoir son sperme à des fins eugénistes. Il aurait aussi proposé à Tiffany Fong, influenceuse crypto, de concevoir un enfant sans relation amoureuse, uniquement pour la postérité génétique.
6. Un “fixer” pour tout contrôler
Jared Birchall, banquier et confident de Musk, serait l’homme-clé de ce dispositif. Il assurerait la logistique, les contrats de confidentialité, les transferts d’argent et la surveillance de la réputation des femmes sélectionnées.
D’après St. Clair, il aurait déclaré :
« Ne pas faire signer un accord pour 15 millions $, c’est de la folie. »
7. L’avis des experts en bioéthique
Ce système soulève de nombreuses questions éthiques. La concentration de patrimoine génétique par un individu ultra-puissant, l’usage systématique de mères porteuses, les accords financiers sous silence contractuel… Pour la biologiste américaine Dr. Sarah Kivens, interrogée par NPR :
« Ce n’est plus de la parentalité, c’est une stratégie de répartition génétique. »