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Javier Milei souligne que la société argentine du début du XXe siècle était loin d’être parfaite

« La société argentine du début du XXᵉ siècle vantée par Javier Milei était loin d’être idyllique »


# LA SOCIÉTÉ ARGENTINE DU DÉBUT DU XXᵉ SIÈCLE VANTÉE PAR JAVIER MILEI ÉTAIT LOIN D’ÊTRE IDYLLIQUE

Le nouveau président argentin, Javier Milei, affirme que l’Argentine était autrefois le « pays le plus riche du monde » au début du XXᵉ siècle, mais qu’elle a décliné en occupant actuellement la 140ᵉ place. Il promet de redonner sa grandeur au pays et de le propulser à la première place mondiale dans trente-cinq ans. Pourtant, selon Ezequiel Adamovsky, chercheur au Conseil national de recherche scientifique et technique, l’Argentine n’a jamais été une puissance mondiale et son déclin économique est davantage dû aux politiques néolibérales appliquées à partir de la dictature de 1976.

L’ARGENTINE, PAS UNE PUISSANCE MONDIALE, MAIS UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE PARTICULAR

L’Argentine n’a jamais été une « puissance mondiale » comme l’affirme Javier Milei. Elle était certes entre la 7ᵉ et la 14ᵉ place en matière de produit intérieur brut (PIB) par habitant entre 1885 et 1913, grâce à un boom des exportations agricoles. Cependant, il est important de noter que ces données étaient basées sur un nombre limité de pays à l’époque. Aujourd’hui, l’Argentine se trouve à la 60ᵉ place, bien loin de la 140ᵉ place mentionnée par Milei. De plus, son PIB par habitant élevé s’explique par un contexte spécifique marqué par l’expansion des terres après la conquête des territoires indigènes, des investissements massifs du Royaume-Uni, et une augmentation massive de la population avec l’arrivée de migrants européens.

LES POLITIQUES NÉOLIBÉRALES PLUS RESPONSABLES DU DÉCLIN ÉCONOMIQUE

Adamovsky souligne que le déclin économique de l’Argentine est davantage attribuable aux politiques néolibérales mises en place à partir de la dictature de 1976. Ces politiques ont eu un impact significatif sur l’économie du pays, remettant en question les affirmations de Milei sur le déclin du pays étant dû au péronisme. Il est donc crucial de reconnaître que le contexte économique de l’Argentine du début du XXᵉ siècle, bien qu’impressionnant à l’époque, était le résultat de circonstances spécifiques plutôt que d’une position véritablement dominante sur la scène mondiale.

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Pour des références supplémentaires sur la situation économique en Argentine, vous pouvez consulter les articles suivants :
– Argentine : Javier Milei nomme à l’économie Luis Caputo, ancien ministre et expert en finance

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