UN SÉISME DE MAGNITUDE 6,8 FAIT 14 MORTS EN ÉQUATEUR ET AU PÉROU VOISIN
Au moins 14 personnes ont péri samedi 18 mars dans un tremblement de terre de magnitude 6,8 dans le sud de l’Équateur et au Pérou voisin. L’Institut sismologique américain USGS a précisé que la secousse n’était pas susceptible de générer un tsunami dans le Pacifique. La secousse a également entraîné de nombreux dégâts matériels dans plusieurs villes, notamment à Cuenca. Selon la présidence équatorienne, il y aurait 446 blessés et 180 habitations endommagées. La secousse s’est produite à Balao à une profondeur de 44 km, provoquant la panique des habitants qui se sont réfugiés dans les rues. Certains bâtiments se sont effondrés, notamment de vieilles maisons à Cuenca.
Le bilan évoqué par l’article a été diffusé sur Twitter par la présidence de l’Équateur. Les secours ont été rapidement déployés pour prendre en charge les victimes et évaluer les dégâts. L’article souligne que la secousse ne remplissait pas les conditions nécessaires à la formation d’un tsunami dans le Pacifique. Les habitants ont été pris de panique après le tremblement de terre, mais les secours sont intervenus rapidement pour les rassurer et prendre en charge les victimes. Des maisons anciennes ont été particulièrement touchées, notamment à Cuenca, où des journalistes de l’AFP ont rapporté des dommages matériels majeurs. Les dégâts matériels sont impressionnants, mais malheureusement le bilan humain est encore plus lourd avec au moins 14 morts et plus de 400 blessés.
L’article met en avant la puissance de la secousse et l’inquiétude des habitants face à cette situation. Malgré la rapidité de l’intervention des secours, de nombreux habitants ont été choqués par l’événement et la destruction de leurs habitations. L’article insiste sur l’importance des secours, mais également des travaux de reconstruction nécessaires pour les villes touchées par le séisme. L’article met en lumière les efforts des secours pour prendre en charge les victimes et évaluer les dégâts dans les zones touchées. Cependant, il souligne également la nécessité d’une reconstruction rapide pour permettre aux habitants de retrouver une vie normale après cette catastrophe naturelle.
