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Violente mise en échec: St-Louis parle d’une mise en garde pour Slafkovsky

Violente mise en échec: St-Louis parle d’une mise en garde pour Slafkovsky


SAINT PAUL | Il y avait la réaction des joueurs et celle de l’entraîneur en chef. David Savard et Nick Suzuki n’ont pas aimé la mise en échec de Marco Rossi contre Juraj Slafkovsky en fin de rencontre. 

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« À 4-1, ce n’était pas le temps de faire ça, a mentionné Savard. Je trouvais ça plate. Slafkovsky était dans une position vulnérable et le Wild avait déjà la victoire dans la poche. »

« Juraj se retrouvait à un endroit dangereux pour se faire frapper, a renchéri Suzuki. Il était juste assez loin de la bande. Je ne sais pas si la porte était ouverte au même moment, mais Slaf se sent bien. Les gars ont bien réagi après ce coup. »

Non, la porte n’était pas ouverte au banc des visiteurs.

St-Louis avait une vision plus calme du jeu.

« Slaf était à la fin de sa présence, il était brûlé. Il a voulu bien faire en rejoignant la ligne rouge, a-t-il expliqué. Parfois, il vaut mieux de se protéger. Il faudrait que je regarde différents angles pour voir si c’était quelque chose de dangereux ou non. Quand les gars sont proches des bandes, surtout avec le score… Ce n’est pas une ligue facile. »

Rester alerte 

De l’opinion de St-Louis, Slafkovsky doit retenir une leçon de ce jeu. Il n’est jamais à l’abri d’une mise en échec même s’il mesure 6 pi 3 po et pèse 238 lb et que son rival ne fait que 5 pi 9 po et arrête la balance à 181 lb.

« Il faut que tu sois alerte jusqu’à la fin, a reconnu le membre du Temple de la renommée du hockey. C’était une fin de présence, une fin de match. C’est vite et il y a bien des gars qui veulent garder leur poste dans la ligue. Alors, ils essaient de tout faire et d’impressionner chaque fois qu’ils sont sur la glace. Alors, tu ne dois jamais baisser la garde car tu peux de faire pincer. » 

« C’est déjà difficile de bouger Slaf. Mais il était à la fin d’une présence, fatigué. Il n’avait pas la même force. »

Slafkovsky n’a pas subi de blessure sur ce jeu. C’est l’aspect positif. Le Slovaque n’a pas rencontré les journalistes, mais on l’a croisé dans un corridor. Il avait le même sourire qu’en temps normal.



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