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Un juge soutient le défi à l’interdiction de non-concurrence de la F.T.C., du moins pour le moment

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JUGE SOUTIENT LE DÉFI À L’INTERDICTION DES CLAUSES DE NON-CONCURRENCE DE LA FTC, DU MOINS POUR LE MOMENT

Un juge fédéral a récemment soutenu un défi légal initial à l’interdiction des clauses de non-concurrence de la Federal Trade Commission (FTC), qui doit entrer en vigueur en septembre. Le juge Ada Brown a accordé une injonction demandée par plusieurs plaignants, indiquant que l’interdiction ne pouvait pas être appliquée contre eux en attendant une décision finale. Cette décision préliminaire souligne que la FTC manquait d’une "autorité substantielle de réglementation" en ce qui concerne les méthodes de concurrence déloyale et que les plaignants étaient susceptibles de réussir dans leur défi. Le juge Brown, du tribunal de district des États-Unis pour le district nord du Texas, a déclaré qu’elle prévoyait de rendre une décision finale d’ici la fin août.

CHIFFRE ÉNORME EN JEU

Selon les estimations de la FTC, l’interdiction des clauses de non-concurrence, qui empêchent les travailleurs de changer d’emploi au sein d’une industrie, augmenterait les revenus des travailleurs d’au moins 400 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie. Ces accords touchent environ un travailleur américain sur cinq, soit environ 30 millions de personnes. Le directeur du Bureau de l’économie de la FTC a souligné lors d’une conférence en avril que ces accords peuvent nuire à l’économie en empêchant les travailleurs de travailler au sein des entreprises les plus productives.

DIVERGENCES D’OPINION

Les groupes d’entreprises soutiennent que l’interdiction limiterait leur capacité à protéger les secrets commerciaux et les informations confidentielles. Ils affirment que la FTC n’a pas l’autorité constitutionnelle et statutaire pour adopter sa règle proposée. Une autre action en justice visant à bloquer la règle est en cours devant un tribunal fédéral en Pennsylvanie.

PRESSION SUR LES EMPLOYEURS

Alors que la lutte juridique se poursuit, certains avocats recommandent déjà aux employeurs de s’appuyer davantage sur d’autres accords pour protéger les secrets commerciaux et les intérêts commerciaux. Il est suggéré que les employeurs adoptent des mesures alternatives telles que des accords de non-divulgation strictement définis et des clauses de remboursement des coûts de formation si les employés quittent avant une période déterminée.

ÉVOLUTION NATIONALE ET INTERNATIONALE

La tendance à protéger la mobilité des travailleurs se manifeste non seulement au niveau fédéral, mais aussi au niveau des États. Le récent vote de la FTC pour interdire les clauses de non-concurrence a attiré l’attention, mais d’autres agences fédérales et législateurs étatiques prennent également des mesures pour limiter les accords qui restreignent la mobilité des travailleurs.

MULTIPLICATION DES ACTIONS

Des arbitrages sans précédent ont été pris contre les clauses de non-concurrence. Par exemple, un juge de la National Labor Relations Board a récemment statué qu’une telle clause constituait une pratique déloyale du travail. Cette décision s’inscrit dans un contexte plus large de lutte contre les restrictions qui entravent la mobilité des travailleurs.

Pour plus d’informations sur ce sujet, veuillez consulter les liens suivants :

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