in

Toutes les personnes voyageant seules en autobus peuvent maintenant s’arrêter entre deux arrêts

Toutes les personnes voyageant seules en autobus peuvent maintenant s’arrêter entre deux arrêts


Toute personne voyageant seule, accompagnée d’enfants ou à mobilité réduite, peut désormais bénéficier du service «Entre deux arrêts» de la Société de transport de Montréal (STM) qui était jusqu’ici réservée aux femmes. 

• À lire aussi: Trop de chantiers à Montréal, selon l’opposition

• À lire aussi: [PHOTOS] Un chauffeur de la STM s’endort au volant et provoque un accident

Ce service était offert aux femmes qui voyagent seules depuis 1996 dans les autobus de la STM.

À partir de lundi, «toute personne voyageant seule ou étant accompagnée d’enfants peut demander ce service entre 19 h 30 et 5 h 30, y compris les personnes en fauteuil roulant si la rampe peut être déployée en toute sécurité», a indiqué la STM dans un communiqué.

Le retrait du critère d’admissibilité basé sur l’identité de genre et l’élargissement du service aux personnes à mobilité réduite visent «à offrir la même expérience de déplacement sécuritaire à l’ensemble de la clientèle de la STM qui pourrait éprouver un sentiment d’insécurité en ville le soir».

«Cette bonification du service Entre deux arrêts est un pas additionnel en direction de notre objectif d’offrir des déplacements lors desquels l’ensemble de notre clientèle se sent en sécurité», a déclaré Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM.

La STM a également rappelé que lorsqu’une demande de débarquement entre deux arrêts est effectuée, le chauffeur doit avant tout s’assurer qu’il lui est possible d’arrêter le véhicule en toute sécurité.



Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

la Côte d’Ivoire dans la dernière ligne droite – Jeune Afrique

La rentrée universitaire à Fribourg: «Je prends des notes que j’ai déjà un peu de peine à relire»

La rentrée universitaire à Fribourg: «Je prends des notes que j’ai déjà un peu de peine à relire»