Des groupes de campagne affirment qu’au moins 582 personnes ont été exécutées en 2022 lors des manifestations anti-gouvernementales.
Cette statistique choquante met en évidence la réponse violente des autorités aux manifestations de masse contre le gouvernement. Selon les groupes de campagne, de nombreux prisonniers politiques ont également été soumis à des exécutions sommaires sans procès équitables.
Ces violations flagrantes des droits de l’homme témoignent de la brutalité de l’appareil sécuritaire du gouvernement et de sa répression impitoyable de l’opposition politique. Les groupes de défense des droits de l’homme appellent à une enquête approfondie et à des sanctions contre les responsables de ces atrocités.