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les États-Unis et le Pays de Galles se contentent d’un match nul (1-1)

les États-Unis et le Pays de Galles se contentent d'un match nul (1-1)


Une mi-temps chacun : autant « Team USA » a mérité de mener 1-0 à la pause, grâce à Timothy Weah (36e), après avoir étouffé les Gallois pendant 45 minutes, autant les « Dragons » n’ont pas volé leur égalisation par Gareth Bale (82e sur pénalty), après une seconde période pleine d’énergie et de volonté.

Pour leur retour en Coupe du monde après 64 ans d’absence, les Gallois avaient l’appui d’une colonie bruyante et enthousiaste de fans tout de rouge vêtus.

Les Américains dominateurs

Mais d’entrée de jeu, les Américains, arrivés au Qatar avec la deuxième sélection la plus jeune du tournoi (après le Ghana), ont privé les Britanniques du ballon, et pris le contrôle quasi total du milieu de terrain.

La première occasion franche est arrivée après 10 minutes de jeu seulement, lorsque Josh Sargent a placé une tête puissante sur le poteau.

On pensait alors que les Dragons allaient craquer rapidement. Mais les joueurs de Rob Page, à défaut de pouvoir développer leur football, étaient bien en place défensivement. Et c’est finalement sur sa deuxième occasion seulement que la « Team USA » a ouvert le score.

Point de l’espoir

Dans la famille Weah, le fils… George, le père, avait brillé avec Paris ou l’AC Milan avant de devenir président de son pays, le Liberia. Mais c’est Timothy, le fils, qui a inscrit le nom de la famille dans le livre d’Or de la Coupe du monde, en ouvrant le score pour les Etats-Unis. Superbement lancé dans la profondeur par Christian Pulisic, le jeune attaquant lillois de 22 ans a devancé le gardien gallois Wayne Hennessey (1-0, 36e).

La deuxième période a été par moment débridée, les deux équipes cherchant tour à tour le KO. Et c’est finalement Gareth Bale, transparent pendant les 45 première minutes, qui a arraché l’égalisation. Bousculé dans la surface, l’ancien attaquant du Real Madrid n’a laissé à personne le soin de transformer le pénalty logiquement sifflé par l’arbitre qatari du match, M. Al Jassim (1-1, 82e).

Ce point du nul est aussi pour les deux formations un point de l’espoir, dans un groupe ou l’Iran apparaît en-dessous du lot et l’Angleterre probablement au -dessus.

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