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Les enquêteurs privilégient la piste accidentelle après l’effondrement d’immeubles à Marseille. Présente sur place, la journaliste Nathalie Ramirez fait le point, lundi 10 avril.
« La piste accidentelle et celle de l’explosion liée au gaz » est privilégiée, lundi 10 avril, au lendemain de l’effondrement de plusieurs immeubles à Marseille (Bouches-du-Rhône), indique la journaliste Nathalie Ramirez, présente sur place. « Est-ce un problème isolé dans un appartement, quelqu’un qui aurait mal fermé le gaz, ou alors est-ce un problème de réseau de gaz qui alimente la ville ?« , questionne la journaliste.
500 m³ de gravats à étudier
Après le drame de la rue d’Aubagne et alors que la vétusté des habitations à Marseille avait été pointée du doigt, les habitants attendent des réponses. Les enquêteurs se rapprochent du site où sont effectuées les recherches, ils n’y ont pas encore accès, puisque la priorité est la recherche de survivants. Après l’effondrement des immeubles, 500 m³ de gravats vont devoir être étudiés. « Entre l’incendie et l’utilisation de l’eau, les pistes pourraient être brouillées. Quoi qu’il en soit, il va falloir trouver des réponses », conclut Nathalie Ramirez.