Un Van Gogh aspergé de soupe, des militants collés à une œuvre de Picasso ou de Botticelli… Dernièrement, les actions des activistes écologistes s’enchaînent et entrainent leur lot de réactions très tranchées. Mais quel est leur intérêt véritable? Ne risquent-elles pas justement de desservir la cause? Deux camps s’opposent. D’un côté, ceux qui comprennent le désarroi et le sentiment d’urgence des manifestants, et de l’autre, ceux qui placent l’art dans le domaine du sacré ou qui redoutent un effet contreproductif.
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