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L’affaire a fait le tour de l’Italie, au point que la presse italienne la surnomme désormais « Sœur ‘Ndrangheta », du nom de la mafia calabraise avec laquelle elle aurait collaboré. Assignée à résidence, la religieuse attend toujours son procès.
Publié le 10/12/2024 11:19
Mis à jour le 10/12/2024 11:19
Temps de lecture : 2min
On lui donnerait le bon Dieu sans confession, avec ses joues roses et sa chevelure argentée qui dépasse de son voile. Mais derrière ce visage d’ange, se cache peut-être une complice du crime. Anna Donnelly, une religieuse italienne de 57 ans, arrêtée mercredi 4 décembre, dans le cadre d’une enquête tentaculaire lancée par le parquet de Brescia est depuis peu dans le viseur de la justice après un coup de filet de la police mené en Lombardie, dans le nord-est de l’Italie, une région prisée du crime organisé notamment la « Ndrangheta« , la redoutable mafia calabraise. Une mafia que la religieuse est soupçonnée d’avoir aidée, grâce aux missions spirituelles qu’elle menait comme bénévole en prison.
D’après l’enquête, Anna Donnelly aurait profité de ses visites et de son accès total aux détenus de Brescia et de Milan pour mettre en contact des prisonniers avec leurs proches lorsque les parloirs étaient suspendus. Elle aurait également fait passer des messages utiles à la « planification de stratégies criminelles » précise le juge d’instruction. La religieuse se serait notamment rendue au siège d’une entreprise détenue par le chef de la Ndrangheta.
Si à ce stade rien dans le dossier ne permet de déterminer si elle a pu bénéficier de la moindre contrepartie en échange de ce « pacte » avec la mafia, la religieuse est assignée à résidence. Tous ceux qui la connaissent prennent d’ailleurs sa défense, affirmant que depuis toujours elle suit la voie de la droiture.
Entrée dans les ordres à 21 ans, Anna Donnelly a longtemps apporté son aide aux quartiers pauvres dans les banlieues de Pavie, Rome ou Milan. Elle œuvrait par ailleurs depuis 2010 dans les prisons italiennes. Une expérience qui avait « transformé mon regard« , confiait-elle, il y a quelques années à un journal local : « Depuis que j’effectue des missions en prison je cherche à voir la personne avant toute chose ; l’homme comme auteur d’un crime et comme celui le subit. Parce que ces deux dimensions sont aussi présentes en moi : le bon grain et l’ivraie« . Une déclaration qui pour beaucoup de journalistes sonne comme un début d’aveu.
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