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Camavinga et Konaté ne connaissent pas les Australiens

Camavinga et Konaté ne connaissent pas les Australiens


Un coin de ciel bleu

Les Socce… quoi ?

En conférence de presse, on voit tout de suite ceux qui ont révisé, ou non, en vue de leur prochain match. Dimanche, Ibrahima Konaté et Eduardo Camavinga étaient les deux Bleus à répondre aux questions des journalistes, dont celles de nos confrères australiens. Et quand l’un d’eux a demandé à Konaté s’il connaissait certains Socceroos, le défenseur de Liverpool a joué la franchise. « Non, pas du tout. J’en connais aucun malheureusement. »

Notre camarade australien n’a pas connu plus de réussite avec Camavinga quand il lui a lancé sur Aaron Mooy : « Vous avez joué contre lui en Ligue des champions et il est chauve comme moi. » Malgré cette description assez précise, le joueur du Real n’arrivait pas à resituer le Mooy en question. Mais l’ancien du Stade rennais assure que ses coéquipiers et lui ont étudié leur premier adversaire avec sérieux à la vidéo. Pour les noms, c’est autre chose.

Chaud devant

Sénégal – Pays-Bas et Angleterre-Iran

Prévu à 17 heures (heure de Paris), le match Sénégal – Pays-Bas pourrait valoir le détour pour ceux qui quitteront le bureau un peu plus tôt que d’habitude. Annoncée comme l’une des équipes à suivre lors de ce Mondial, la formation africaine arrive orpheline de son guide et leader technique, Sadio Mané, blessé au péroné et indisponible pendant trois mois. Sans le numéro 10 du Bayern Munich, les Lions de la Teranga auront fort à faire contre des Néerlandais invaincus depuis quinze rencontres – douze succès pour trois nuls –, mais privés de Memphis Depay, éloigné des terrains depuis septembre en raison d’une blessure à une cuisse.

Lire aussi : Coupe du monde 2022 : le Sénégal perd sa star Sadio Mané

Il sera aussi intéressant de garder un œil sur le duel Angleterre-Iran, disputé un peu plus tôt dans la journée (14 heures). Notamment sur l’avant-match. Le 27 septembre, à l’occasion d’une rencontre amicale face au Sénégal, les joueurs Iraniens avaient porté une parka noire cachant le blason de leur maillot lors des hymnes. Une action symbolique pour protester contre la répression des manifestations qui ont suivi la mort de Mahsa Amini, arrêtée par la police à Téhéran pour avoir porté son voile « de manière inappropriée ».

Pleins gaz

Enner Valencia n’avait pas de temps à perdre

31 minutes : c’est le temps qu’il a fallu à Enner Valencia pour inscrire un doublé face au Qatar (0-2) en ouverture de la compétition et doucher les espoirs de la nation hôte, pour son baptême du feu lors d’un Mondial. Le joueur de Fenerbahçe (Turquie), meilleur buteur de l’histoire de sa sélection, a même inscrit les cinq dernières réalisations de son pays lors des phases finales de Coupe du monde. Sera-t-il capable de maintenir les mêmes standards face aux Pays-Bas, le 25 novembre, et au Sénégal, le 29 ?

De l’eau dans le gaz

Les tribunes vides du stade Al-Bayt

Au coup de sifflet final, les tribunes du stade Al-Bayt ont semblé bien vides. Et pour cause : de nombreux supporteurs des Al-Annabi (« les bordeaux »), la sélection du pays hôte, ont quitté les lieux dès la mi-temps alors que leur équipe était menée au score. Lundi matin, la presse qatarie se faisait l’écho des « débuts cauchemardesques » de son Mondial.

Sables mouvants

24 degrés et… la clim allumée

Avec 24 °C affichés au thermomètre et une légère brise, les conditions météorologiques de dimanche semblaient plutôt optimales… Et pourtant : le stade Al-Bayt, qui accueillait le match inaugural de cette Coupe du monde 2022, était bel et bien climatisé.

Qatar postal

La’eeb à l’honneur

La mascotte officielle de la Coupe du monde 2022, lors de la cérémonie d’ouverture, au stade Al-Bayt, à Al-Khor (Qatar), le 20 novembre.

Depuis la fin des années 1960, impossible d’organiser un événement sportif international de grande ampleur sans mascotte officielle. Dimanche, la cérémonie d’ouverture du Mondial a réuni tous les anciens fétiches des précédentes éditions – de Pique, le jalapeno mexicain, à Naranjito, l’orange espagnole – avant l’arrivée dans le stade Al-Bayt du keffieh qatari, La’eeb (qui signifie « joueur très talentueux en arabe »).

Doha dans l’œil

Chapeau les supporteurs

La boutique est nichée dans un recoin de la station de métro du Souq Waqif, dans le centre touristique de Doha. Elle propose des coiffes traditionnelles qataries aux couleurs des pays qualifiés pour le Mondial, des ghutras customisées. A l’air libre, au cœur du marché, les supporteurs du monde entier, qui ont commencé à affluer dans la capitale du Qatar, sont de plus en plus nombreux à avoir cédé à cette fusion culturelle. La chaleur et le soleil sont des arguments d’achats efficaces.

Samedi 19 novembre, couvre-chef ou non, les Equatoriens, dont la sélection disputait le match d’ouverture, étaient les plus nombreux à Doha, bien épaulés par des confrères latino-américains, des Argentins ou des Mexicains (qui gardent confiance envers leur sombrero). Un impressionnant contingent tunisien, une importante communauté locale réside dans le pays, promet déjà une ambiance prometteuse pour le match entre la France et la Tunisie, le 30 novembre prochain.

Au milieu de toute cette foule bigarrée, on aperçoit quelques Croates, quelques Anglais, quelques Danois ou quelques Américains. Les Qataris se font, eux, discrets dans les rues.



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