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Un journaliste ouvre une lettre piégée contenant une clé USB dans la salle de rédaction.



Le gouvernement équatorien a fortement condamné l’attaque qui a ciblé les journalistes du pays. Ces attaques ont eu lieu dans le contexte des manifestations qui secouent le pays depuis plusieurs semaines. Les journalistes ont été attaqués alors qu’ils couvraient ces manifestations.

Les autorités équatoriennes ont dénoncé fermement ces attaques contre les médias et ont promis de prendre des mesures pour protéger les journalistes. Le gouvernement a également appelé à la fin des violences et à la reprise du dialogue entre les différentes parties impliquées dans les manifestations.

Les attaques contre les journalistes ont eu lieu dans différentes villes du pays, notamment Quito, Guayaquil et Cuenca. Les journalistes ont été agressés physiquement et verbalement, leurs équipements ont été détruits et certains d’entre eux ont été arrêtés.

Les associations de journalistes ont également dénoncé ces attaques et ont appelé à la protection de la liberté de la presse et de l’exercice du métier de journaliste.

Les manifestations en Équateur ont commencé le 3 octobre, après que le gouvernement a décidé de supprimer les subventions sur les carburants. Cette mesure a été prise dans le cadre des réformes économiques nécessaires pour obtenir un prêt du Fonds monétaire international (FMI). Les manifestations ont rapidement dégénéré en affrontements violents entre la police et les manifestants.

Les manifestants, représentant différents secteurs de la société, ont exigé l’annulation de la mesure économique, la démission du président Lenin Moreno et la convocation d’une Assemblée constituante pour élaborer une nouvelle constitution.

Le gouvernement a décidé de déclarer l’état d’urgence en réponse aux manifestations. Cette mesure a permis à l’armée de patrouiller dans les rues et de procéder à des arrestations. Cette situation a conduit à une augmentation des tensions et de la violence dans le pays.

Les attaques contre les journalistes et les médias sont une atteinte à la liberté de la presse et au droit à l’information. Les journalistes sont les témoins essentiels des événements qui se déroulent dans le pays et leur travail est crucial pour que la population puisse être informée de la situation.

Il est du devoir de l’État de protéger les journalistes et de veiller à ce qu’ils puissent exercer leur métier en toute sécurité. La liberté de la presse doit être garantie en toutes circonstances, en particulier dans des contextes de crise et de tension politique.

Il est urgent que le gouvernement équatorien mette en place des mesures concrètes pour protéger les journalistes et préserver la liberté de la presse. Le dialogue entre les différentes parties impliquées dans les manifestations est également crucial pour parvenir à une solution pacifique et durable à la crise qui secoue le pays.

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