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Pour une société éduquée et prête à agir face à l'arrêt cardiaque


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Chaque année en France, environ 50 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque. Derrière ce chiffre se dessine une réalité alarmante : malgré des avancées médicales significatives, le taux de survie demeure inférieur à 10% lorsque les premiers secours ne sont pas administrés dans les premières minutes, avant l’arrivée des secours médicalisés. En raison d’un manque d’éducation à ces gestes qui sauvent, de nombreuses vies qui pourraient être préservées sont ainsi perdues.

Alors, comment préparer notre société à mieux réagir face à ces urgences cardiaques ?

Une contribution de Pascal Cassan, médecin urgentiste et conseiller national de la Croix-Rouge française, et Johann Kalchman, Cofondateur et CEO de Lifeaz 

 

La formation massive de la population, la vraie urgence

Compte tenu de la fréquence des arrêts cardiaques, l’éducation aux gestes de premiers secours apparaît comme une réponse essentielle.  Pourtant, en France, moins de 40% de la population y est formée. Un taux faible comparé à d’autres pays européens, tels que les pays scandinaves , où plus de 80% des citoyens maîtrisent ces gestes. Ce manque de connaissances limite l’efficacité des interventions. Chaque seconde compte en cas d’arrêt cardiaque : il est crucial d’intervenir dans les premières minutes, car les secours mettent en moyenne 13 minutes sur le territoire hexagonal pour arriver.

Il est essentiel de multiplier et de pérenniser les formations en intégrant cet apprentissage aux parcours scolaires et professionnels. Plutôt que de se limiter à des sessions ponctuelles, une éducation continue et régulière permettrait aux citoyens d’assimiler durablement les gestes de secours et de se sentir plus confiants pour intervenir. Cette autonomie face aux urgences cardiaques contribuerait à faire de la société un réseau de « citoyens sauveteurs », capables d’agir rapidement et efficacement en attendant l’arrivée des secours.

Encourager l’usage et l’équipement de défibrillateurs : des appareils encore sous-utilisés et sous-déployés

Depuis plusieurs années, des milliers de défibrillateurs automatisés externes (DAE) ont été installés dans les lieux publics en France. Bien que simples et sûrs à utiliser, ces appareils restent largement sous-utilisés pour deux raisons principales : un tiers d’entre eux sont défectueux ou mal entretenus, et beaucoup de citoyens hésitent à s’en servir, par crainte de mal faire ou de ne pas savoir les utiliser. Pourtant, les défibrillateurs sont conçus pour guider l’utilisateur avec des instructions claires, permettant à chacun, sans formation avancée, de sauver une vie.

Pour remédier à cette méconnaissance, il est essentiel de démystifier l’usage des défibrillateurs par une information large et accessible sur leur fonctionnement et leur sécurité. Les entreprises, les établissements scolaires et les municipalités ont un rôle central à jouer dans cette sensibilisation, en organisant des démonstrations régulières et en affichant des consignes d’utilisation claires et visibles. Ils peuvent ainsi renforcer la confiance des citoyens.

Si les lieux publics sont de plus en plus équipés, près de 80% des arrêts cardiaques surviennent pourtant à domicile, où les particuliers n’ont généralement pas accès à ces appareils. Sensibiliser et équiper les familles et les immeubles d’habitation devient donc une priorité. Quant aux entreprises, alors que toutes disposent aujourd’hui d’extincteurs, trop peu sont équipées de défibrillateurs. Un paradoxe à corriger. 

Enfin, garantir la disponibilité et la maintenance des défibrillateurs est indispensable pour qu’ils soient fonctionnels à chaque instant, et surtout en cas d’urgence cardiaque. En multipliant les initiatives pour rendre ces appareils plus visibles et accessibles, nous pouvons lever les freins à leur usage et permettre à chaque citoyen d’agir pour sauver des vies.

Faire de l’urgence cardiaque une priorité collective

Au-delà de la formation et de l’accès aux équipements, il est crucial de faire de l’urgence cardiaque une priorité collective, inscrite dans les politiques publiques et soutenue par tous les acteurs de la société. Les arrêts cardiaques, première cause de mortalité évitable, touchent chaque année des dizaines de milliers de Français, souvent de façon imprévisible, et tout le monde peut être concerné. Pourtant, une meilleure sensibilisation permettrait de sauver de nombreuses vies. 

 Il manque aujourd’hui de grandes campagnes nationales d’éducation sur les arrêts cardiaques : reconnaître les signes avant-coureurs ; identifier les facteurs de risque cardio-vasculaire ; savoir réagir immédiatement devant toute personne inconsciente et qui ne respire pas en pratiquant un massage cardiaque et en utilisant un défibrillateur. Par ailleurs, beaucoup de personnes hésitent encore par peur de se tromper, d’aggraver la situation ou d’être poursuivies en justice. Pourtant, la loi “citoyens sauveteurs” protège ceux qui interviennent. Il est essentiel de lever ces freins et de rappeler que toute action rapide peut sauver une vie. 

De telles campagnes devraient aussi intégrer des messages ciblés : les arrêts cardiaques concernent autant les hommes que les femmes, avec des symptômes parfois différents, et peuvent survenir à tout âge. En rendant ces informations accessibles à tous, nous pouvons réduire les drames évitables et encourager une véritable mobilisation citoyenne face à cet enjeu de santé publique.

 

L’urgence cardiaque est l’affaire de tous. Agir aujourd’hui, c’est renforcer notre résilience et faire de la France une société prête à sauver des vies avec le concours de tous – citoyens, institutions et entreprises.


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