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Reproduire ce titre avec des mots différents: CES 2025 : le meilleur de l’Agritech et de l’IA pour une agriculture durable

CES 2025


Reproduit le sens de ce texte en 950 mots avec paragraphes et titre en majuscule, mais sans le recopier:

L’agriculture à travers le monde connaît une vague de changements et le CES 2025 en est la preuve ultime. Plusieurs entreprises dévoilent leurs innovations et font office de leaders dans le secteur de l’Agritech, notamment en utilisant l’IA pour optimiser leurs processus de culture.

Une contribution d’Andrew Watman pour Forbes US

 

Si l’on en croit sa présence au CES 2025, il est clair que la Corée du Sud, plus que n’importe lequel des pays et régions présents à la Convention, a pour priorité d’inciter les jeunes générations à se lancer dans l’agriculture en rendant cette activité plus attrayante. Le pays s’efforce d’intégrer l’IA dans l’agriculture verticale et d’utiliser des techniques innovantes telles que la robotique et l’automatisation pour la rendre possible dans les zones urbaines. Ces technologies d’IA collectent tellement de données qu’elles devraient réduire les erreurs humaines et faciliter la gestion de nombreuses composantes de l’agriculture.

 

Airfarm

Airfarm a reçu le CES Innovation Award pour la deuxième année consécutive. Cette année, cette innovation a été récompensée dans la catégorie des technologies alimentaires et agricoles. Comme son nom l’indique, Airfarm est une ferme d’intérieur gonflable et aéroponique. Elle existe en deux tailles : un Airfarm de trois mètres, qui est principalement utilisé à des fins éducatives, de recherche et d’utilisation domestique, et un Airfarm de six mètres, qui permet d’obtenir un rendement élevé si vous envisagez de vendre vos récoltes. La ferme arrive dégonflée et est livrée avec une pompe qui permet de la gonfler en trois ou quatre heures.

Sein Kwon, directeur commercial de l’entreprise, explique que Midbar, le nom de l’entreprise coréenne qui fabrique Airfarm, signifie « désert » en hébreu. Midbar a commencé à tester le produit au Moyen-Orient, plus précisément à l’université d’Abou Dabi, une région où l’entreprise estime qu’elle pourrait avoir un impact considérable. Dans l’environnement contrôlé, un système de buses pulvérise de la brume sur les racines des plantes. Malgré ce brouillard, Airfarm prétend réduire de 90 % la consommation d’eau par rapport aux autres fermes verticales. Et comme il s’agit également d’un système aéroponique, les racines sont censées pouvoir mieux respirer lorsqu’elles sont suspendues. Le système de vision artificielle recueille des données sur la température, l’humidité et d’autres paramètres environnementaux.

La mission globale est de rendre possible la culture dans des zones où elle est souvent impossible en raison d’un certain climat, et où elle pourrait être impossible à l’avenir en raison du changement climatique. L’Airfarm est capable de créer n’importe quel climat nécessaire à n’importe quel moment de l’année. Au lieu de quelques cycles par an, elle vous permet de cultiver et de récolter des dizaines de fois par an, car les saisons n’ont pas d’importance à l’intérieur de l’Airfarm. Le dispositif crée n’importe quelle saison nécessaire à n’importe quel moment de l’année. Midbar s’efforce de vendre Airfarm dans d’autres régions du monde, y compris aux États-Unis, en particulier dans les régions froides où il est plus difficile de cultiver tout au long de l’année.

 

Urban Ponics

Après avoir vécu au Venezuela pendant 20 ans, Laurens Trebes et son fils Johannes, des Pays-Bas, ont eu l’idée de créer une entreprise capable d’imiter la brume de la canopée de la forêt tropicale. Urban Ponics est un environnement aéroponique semi-contrôlé, mais l’entreprise affirme qu’elle va bien au-delà de l’aéroponie. Le dispositif s’approvisionne en minéraux dans des endroits comme le Grand Lac Salé dans l’Utah et enlève le chlorure de sodium pour créer un brouillard dense en nutriments dans tout l’environnement pour que les cultures puissent s’épanouir.

Actuellement, l’entreprise collabore avec une vingtaine d’agriculteurs qui travaillent dans des environnements excessivement arides et humides, comme les déserts et les zones tropicales. L’environnement semi-contrôlé permet aux agriculteurs de cultiver ce qu’ils veulent à l’intérieur. Il n’est pas entièrement contrôlé, car il utilise la lumière naturelle du soleil. Des endroits comme Las Vegas sont donc un bon exemple de région qui pourrait grandement bénéficier d’Urban Ponics. Le dispositif recueille également des données à l’intérieur de l’écosystème afin de mieux comprendre comment contrôler le brouillard. L’entreprise considère que ce système est différent de l’agriculture verticale parce qu’il utilise moins d’énergie. C’est un moyen d’introduire l’agriculture dans les zones urbaines ainsi que dans les environnements difficiles. Lorsque vous achetez Urban Ponics, vous recevez, en plus du conteneur lui-même, la solution riche en nutriments qui est diffusée dans tout l’écosystème.

 

Rowain

Rowain a créé une « Intellifarm » (ou ferme intelligente), qui utilise l’IA pour faire pousser des aliments en seulement 30 jours. Dans sa phase de démarrage actuelle, cette entreprise coréenne de deux ans ne cultive que de la laitue, mais elle se tournera bientôt vers toutes les cultures possibles, car l’environnement contrôlé le permet. En utilisant la culture hydroponique dans un système vertical, l’IA est capable de charger deux tonnes de laitues dans les étagères et de contrôler la quantité de nutriments qu’elles reçoivent. Un ventilateur à chaque étage contrôle le flux d’air tandis que des tubes de CO2 circulent à travers chaque niveau.

Le fondateur et PDG Lee Kyeongha est titulaire d’un doctorat en robotique. S’il a créé Rowain, c’est en partie parce que les jeunes générations sont de moins en moins nombreuses à se lancer dans l’agriculture. Comme Rowain n’utilise qu’un minimum d’interaction humaine, cela permet de pallier la pénurie de main-d’œuvre. D’autre part, c’est aussi un moyen d’inciter les jeunes à se lancer dans l’agriculture, car ils n’ont pas besoin de vivre dans des zones rurales et ils n’ont pas besoin de toutes les connaissances générationnelles grâce à l’assistance de l’IA. L’interaction humaine augmente également le risque de contamination et d’éventuels rappels de produits alimentaires. Ce système d’IA réduit donc ce risque et permet de diminuer le gaspillage alimentaire résultant des rappels. L’entreprise est en pleine croissance cette année, notamment parce qu’elle s’apprête à introduire un système de vidéosurveillance généré par l’IA au sein de l’écosystème. Si vous vous trouvez dans une région isolée du monde, Rowain vous permet de cultiver ce que vous voulez et de produire localement.

 

Nanomik

L’huile et l’eau ne font pas bon ménage. C’est la raison pour laquelle la société turque Nanomik a déposé un brevet pour mettre au point des formules qui biocapsulent les huiles naturelles bénéfiques avec une solution qui permet de les pulvériser sur les cultures. Le spray crée de petites sphères qui adhèrent aux plantes et sont absorbées par elles, et la technologie de biocapsulation leur confère une stabilisation supplémentaire. Elles adhèrent même en cas de pluie. Les huiles proviennent principalement de plantes, comme le thym, l’arbre à thé et les huiles d’orange.

Les cofondateurs de Nanomik, Buse Berber Orcen et Arda Orcen, expliquent qu’ils ont créé le premier système de génération de microcapsules au monde, pour lequel ils ont déposé une demande de brevet. Le système Nanomik n’est actuellement utilisé qu’en Turquie, mais l’entreprise est en pourparlers avec l’Agence américaine de protection de l’environnement. Selon elle, c’est aux États-Unis que cette technologie est la plus nécessaire en raison de la réglementation sur les pesticides, et le gouvernement est donc plus favorable aux biopesticides tels que ceux que Nanomik peut fournir. L’entreprise affirme que sa technologie offre une efficacité de 95 %, ce qui est beaucoup plus élevé que les biopesticides sans biocapsulation. Cela fait près de dix ans que Buse Berber Orcen a eu l’idée de la biocapsulation. « Grâce à notre technologie de capsulation exclusive, nous pouvons améliorer l’efficacité de 30 % par rapport aux agents de lutte biologique tout en maintenant des prix comparables à ceux des pesticides synthétiques », explique-t-elle.

 

Farm Fleet

Farm Fleet est un service qui permet aux agriculteurs de louer des drones qui peuvent les aider à pulvériser toutes sortes de pesticides dans un champ. Sachant que l’Ukraine est l’un des leaders mondiaux de la technologie des drones, il est tout à fait logique que cette entreprise y ait été fondée il y a plusieurs années. L’Ukraine a pulvérisé plus de pesticides que l’ensemble de l’Union européenne, explique Valerii Iakovenko, cofondateur de l’entreprise, en grande partie parce que l’Union européenne a mis en place des réglementations strictes sur les pesticides aériens en 2009. Il ajoute que même si les intentions étaient bonnes en raison des effets secondaires négatifs que les intrants aériens peuvent provoquer, les drones ne faisaient même pas partie du débat à l’époque. En effet, selon Valerii Iakovenko, les drones peuvent s’approcher très près des cultures et leurs hélices poussent le liquide vers le bas, de sorte qu’il y a peu de débris. Les drones peuvent également travailler de nuit, ce qui est rare pour les agriculteurs, de sorte que les humains ne sont pas exposés à quoi que ce soit de nocif, pas plus que les pollinisateurs qui sont aussi généralement en sommeil la nuit. La guerre en Ukraine a mis à rude épreuve l’entreprise, mais Farm Fleet commence à s’implanter aux États-Unis, que l’entreprise considère comme sa plus grande opportunité.

Il ne s’agit pas de drones ordinaires que l’on peut acheter dans le commerce. Ils mesurent environ 1,80 m sur 1,80 m et peuvent peser jusqu’à 100 kg. Pour obtenir un drone de la flotte de Farm Fleet ou d’autres fournisseurs avec lesquels l’entreprise peut mettre les agriculteurs en relation, il faut obtenir l’autorisation de la Federal Aviation Administration. Le système utilise une technologie de pulvérisation à faible volume, ce qui permet aux agriculteurs d’économiser des ressources et de l’argent. En termes d’IA, les drones recueillent également des données dans des zones difficiles d’accès pour l’homme, notamment dans les vastes régions où peu d’agriculteurs sont présents. Les données commandent au drone de pulvériser dans les zones qui en ont le plus besoin, alors que les humains pulvérisent souvent trop dans des endroits qui n’en ont pas besoin parce qu’ils ne le sauraient pas autrement. Les régulateurs américains ont donné leur feu vert aux drones agricoles en 2024, de sorte que les États-Unis sont officiellement prêts, selon Valerii Iakovenko. « Je pense que cela créera 150 000 emplois d’ici deux à trois ans », ajoute-t-il, en faisant référence à l’intérêt des jeunes agriculteurs pour l’agriculture.

 

Une traduction de Flora Lucas

 


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