Lors de sa visite à Moscou, Wang Yi, premier diplomate chinois, a été reçu avec les honneurs d’un chef d’État. Cet événement a été interprété comme une preuve de la solidité des relations sino-russes. Toutefois, la Russie a catégoriquement démenti toute allusion à un quelconque “plan de paix” chinois.
Malgré ces liens étroits, les deux pays ont des agendas différents lorsqu’il s’agit de la guerre en Ukraine. La Chine a une approche plus nuancée de la crise, cherchant à éviter les sanctions et à maintenir le dialogue avec l’Ukraine. La Russie, quant à elle, est plus agressive et a apporté son soutien à la sécession de la Crimée.
Les deux pays ont des intérêts divergents et des visions différentes de la manière dont la crise ukrainienne doit être résolue. La Chine a des intérêts économiques en Ukraine et veut éviter toute escalade militaire. La Russie, elle, cherche à s’assurer que ses intérêts dans la région sont protégés.
Ces divergences se reflètent dans leurs politiques à l’égard de la crise. La Chine a tendance à soutenir des initiatives de paix telles que le dialogue entre l’Ukraine et la Russie et à appeler à une solution politique. La Russie, elle, s’est engagée à soutenir la sécession de la Crimée et à maintenir son soutien aux séparatistes.
Bien que les deux pays semblent s’entendre sur le fait qu’une solution politique est nécessaire, leurs approches divergentes soulignent leurs intérêts divergents et leurs visions différentes de la manière dont la crise ukrainienne doit être résolue. La Chine cherche à éviter l’escalade militaire et à maintenir le dialogue avec l’Ukraine, tandis que la Russie cherche à s’assurer que ses intérêts dans la région sont protégés.
