Le député Éric Ciotti, président du parti Les Républicains, a déclaré qu’il ne cèderait pas à l’intimidation après que sa permanence a été caillassée. Ce fait est survenu après les manifestations des Gilets Jaunes qui ont secoué la France pendant plusieurs semaines. Il a également fustigé le gouvernement en dénonçant leurs « erreurs » qui ont provoqué la colère des Français.
Les Républicains ont été l’un des principaux partis politiques de l’opposition en France, et Éric Ciotti est un membre influent de ce parti. Il a été choisi pour diriger les Républicains à la suite de la démission de Laurent Wauquiez, en 2019. Il est également député des Alpes-Maritimes depuis 2007.
Le caillassage de sa permanence est survenu après une période de manifestations des Gilets Jaunes en France. Ces manifestations ont commencé en novembre 2018 et ont duré plusieurs semaines. La colère des Français au sujet de la hausse de la taxe sur les carburants a été l’une des principales revendications des Gilets Jaunes.
Depuis, le gouvernement français a mis en place des mesures pour répondre aux demandes des manifestants, notamment la suspension de la taxe sur les carburants. Cependant, les manifestations ont continué, certains manifestants exigeant des réformes plus importantes, comme des augmentations de salaires et une baisse des impôts.
Eric Ciotti a dénoncé les « erreurs » du gouvernement et leur incapacité à répondre aux demandes des Français. Il a également accusé le gouvernement de ne pas avoir pris suffisamment de mesures pour mettre fin à la violence lors des manifestations. Selon lui, cela a créé un climat tendu en France, qui a conduit à l’attaque contre sa permanence.
Dans une déclaration faite à La Provence, Eric Ciotti a déclaré: « Je ne céderai à aucune intimidation. Ces actes sont inacceptables et relèvent de la violence qui caractérise une minorité de casseurs. Nous ne laisserons pas ces minorités casser l’unité nationale et la République ».
Le caillassage de la permanence d’Eric Ciotti est le dernier exemple de la tension politique en France. Les partis d’opposition ont critiqué le gouvernement pour leur gestion de la crise des Gilets Jaunes, tandis que le gouvernement a défendu leurs actions et a appelé à la fin de la violence dans les manifestations.
Il reste à voir comment cette crise politique se déroulera en France et ce que cela signifie pour l’avenir politique du pays.