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L’opposition géorgienne est attaquée alors que son leader est traîné hors de son siège.

GEORGIA’S OPPOSITION UNDER ATTACK AS LEADER IS DRAGGED FROM HQ

Souvent en novembre 2021, en Géorgie, plus de 100 agents ont été blessés par des feux d’artifice, des pierres et d’autres projectiles lors de manifestations. L’ombudsman du pays pour les droits de l’homme a accusé la police d’exercer de la brutalité et de la torture envers les manifestants. Les tensions politiques ont conduit à des affrontements violents entre les forces de l’ordre et les opposants, menant à des arrestations et des raids.

DES LEADERS DE L’OPPOSITION SOUS PRESSION

Dans les premières heures du lundi, Nika Gvaramia, l’un des dirigeants de la Coalition pour le Changement, a déclaré que les manifestants n’avaient d’autre choix que de descendre dans la rue, car ils craignaient une mainmise de la Russie sur leur pays. Il a prédit que le siège de son parti serait bientôt envahi par les autorités géorgiennes, et cela s’est produit moins de 36 heures plus tard. D’autres dirigeants de l’opposition se sont réunis dans un hôtel de la place de la Liberté à Tbilissi, et ont décidé de renforcer leur coopération et d’appeler à une grève générale.

Pendant ce temps, les bureaux d’autres partis membres de l’alliance de Nika Gvaramia, Coalition for Change, ont été perquisitionnés et certains membres ont été arrêtés. Des membres de deux autres parties de l’opposition ont également été emmenés. Les autorités ont également visé des activistes et des mouvements anti-gouvernementaux, dans une tentative de réprimer toute opposition.

UNE CAMPAGNE DE RÉPRESSION

"Nous assistons à une campagne de terreur totale contre la liberté d’expression, contre la liberté d’opinion, contre la démocratie", a déclaré Levan Tsutskiridze de Géorgie Forte. Alors que les dirigeants de l’opposition quittaient leur réunion, certains ont été attaqués et deux d’entre eux ont été détenus par la police, dont le champion du monde de lutte Zurabi Datunashvili. Cet incident témoigne de la répression croissante exercée par les autorités contre les voix dissidentes.

La répression s’est intensifiée avec des perquisitions chez des activistes et des membres d’un groupe anti-gouvernemental sur Facebook, ainsi que chez d’autres mouvements activistes. La Coalition for Change, arrivée en deuxième position lors des élections contestées du 26 octobre, est particulièrement visée par ces mesures répressives.

UNE SITUATION TENDUE

La situation en Géorgie reste tendue, avec des affrontements réguliers entre les forces de l’ordre et les manifestants. Les opposants politiques font face à des pressions croissantes de la part des autorités, ce qui suscite des inquiétudes quant à la situation des droits de l’homme dans le pays. La répression de la dissidence politique et des mouvements sociaux remet en question la démocratie en Géorgie.

En cette période de tensions politiques, il est essentiel de surveiller de près l’évolution de la situation en Géorgie et de soutenir les voix de l’opposition qui luttent pour la liberté et la démocratie dans le pays.

Pour plus d’informations sur la situation en Géorgie, vous pouvez consulter les actualités locales et internationales, ainsi que les rapports des organisations de défense des droits de l’homme.

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