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L’Iran doit être retiré de la Commission de la condition de la femme, réclament Joly et Freeland

L’Iran doit être retiré de la Commission de la condition de la femme, réclament Joly et Freeland


La ministre des Affaires étrangères Mélanie Joly et la vice-première ministre Chrystia Freeland ont apposé leur signature à une lettre ouverte réclamant que les États membres de l’ONU votent pour retirer l’Iran de la Commission de la condition de la femme.

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«En solidarité avec les femmes iraniennes, nous condamnons la violence brutale des forces de sécurité contre les manifestants pacifiques», a fait valoir la ministre Joly en partageant la lettre ouverte sur ses réseaux sociaux dimanche.

La lettre a été signée par plusieurs femmes influentes d’un peu partout dans le monde, incluant les anciennes premières dames américaines Laura Bush et Michelle Obama, l’animatrice Oprah Winfrey, la militante pakistanaise Malala Yousafzai et la présidente de la Banque centrale européenne, la Française Christine Lagarde.

L’Iran a entamé, plus tôt cette année, un mandat de quatre ans au sein de la Commission de la condition de la femme de l’ONU. Ce rassemblement de 45 États vise à promouvoir l’égalité entre les genres et l’émancipation des femmes dans le monde.

Les signataires de la lettre jugent que l’Iran n’a pas sa place sur ce comité en raison des politiques de la République islamique, qui restreint lourdement les droits des femmes.

La mort d’une étudiante iranienne, Mahma Amini, après son arrestation par la police des mœurs à Téhéran a déclenché, depuis la mi-septembre, une vague de protestation en Iran. Des manifestations ont depuis été violemment réprimées par le régime



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