PLAINTES POUR AGRESSION SEXUELLE : LE CAS DE CAROLINE REY-SALMON
La jeune femme a déposé une plainte en février dernier contre Caroline Rey-Salmon, vice-présidente de la Ciivise, pour des faits remontant à 2020 lors d’un examen gynécologique. La plainte a été classée sans suite le 29 août dernier, soulevant des questions sur les pratiques médicales et judiciaires en matière de violences sexuelles et d’inceste.
LES FAITS ALLEGES PAR LA PLAIGNANTE
La plaignante, nommée Louison, maintient toutes ses déclarations malgré le classement de la plainte. Elle accuse Caroline Rey-Salmon d’agression sexuelle lors d’un examen gynécologique en 2020. La plaignante avait déjà porté plainte pour viols subis durant son enfance. Elle remet en question la pertinence de certaines pratiques médicales qui pourraient reproduire les traumatismes des victimes.
RETOUR SUR L’AFFAIRE
Face au classement de la plainte, Louison souligne l’importance de faire cesser les pratiques dénoncées. Elle met en lumière les difficultés des victimes lors du processus judiciaire, en particulier lors des examens médico-légaux. Louison évoque également une possible plainte pour diffamation à son encontre, mais se dit prête à porter plainte à nouveau en tant que partie civile, espérant que la Ciivise interdise ce type d’examen pour le bien-être des victimes.
REACTIONS SUITE A LA PLAINTE
Caroline Rey-Salmon s’est retirée temporairement de ses fonctions au sein de la commission Ciivise pour garantir la sérénité des travaux pendant l’enquête. La commission a souligné l’importance de maintenir la confiance des personnes victimes de violences sexuelles malgré les accusations portées contre sa vice-présidente.
Pour en savoir plus sur l’affaire Caroline Rey-Salmon, consultez les articles suivants :