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Des applaudissements retentissent en Ouganda lors du passage d’une nouvelle loi interdisant l’identification en tant que LGBT.



Le parlement ougandais a voté une nouvelle loi criminalisant l’identification LGBT et menaçant les personnes concernées de 10 ans de prison. Cette loi a été promue par Musa Ecweru, député du District d’Amuria, qui a déclaré que les homosexuels n’auraient « aucune place en Ouganda ». Il s’agit d’un nouvel exemple de l’homophobie grandissante dans un pays où les actes homosexuels sont déjà illégaux.

Cette nouvelle loi est un retour en arrière pour les droits LGBT en Ouganda. En 2014, une loi similaire avait été votée, mais avait ensuite été annulée. En outre, les personnes LGBT ont été victimes de discrimination et de violences institutionnalisées depuis de nombreuses années.

Selon Amnesty International, cette loi est une preuve de l’escalade de l’homophobie dans le pays. L’organisation a appelé les autorités ougandaises à abandonner cette loi discriminatoire. Amnesty International a également souligné que cette loi va à l’encontre des obligations internationales de l’Ouganda en matière de droits humains.

Les défenseurs des droits humains et les militants LGBT ont déclaré que cette loi violait les droits fondamentaux des citoyens ougandais. Cette loi est un exemple de la persécution des minorités dans un pays où le gouvernement refuse de reconnaître les droits des personnes LGBT.

En Ouganda, les personnes LGBT sont souvent victimes de discrimination, de harcèlement et de violence. Les militants des droits LGBT ont travaillé sans relâche pour faire avancer l’égalité et les droits des minorités sexuelles. Cependant, cette nouvelle loi est un nouvel obstacle dans leur lutte pour l’égalité et la reconnaissance de leurs droits.

Les organisations internationales ont critiqué cette loi et appelé à son abrogation immédiate. Les autorités ougandaises devraient respecter les droits fondamentaux de toutes les personnes résidant dans le pays, indépendamment de leur orientation sexuelle.

En conclusion, cette nouvelle loi criminalisant l’identification LGBT est un exemple de l’homophobie grandissante en Ouganda. Cette loi viole les droits fondamentaux des minorités sexuelles et doit être abrogée immédiatement. Les autorités ougandaises doivent respecter les obligations internationales en matière de droits humains et garantir l’égalité pour tous les citoyens.

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