Au Royaume-Uni, le Wagatha Christie touche à sa fin. Lors de cette affaire Rebekah Vardy et Coleen Rooney, deux femmes de footballeurs anciennement amies, se sont présentées devant la justice britannique. La première avait accusé la seconde de la diffamer sur les réseaux sociaux.
Après le procès Johnny Depp-Amber Heard, une autre bataille passionne, cette fois-ci du côté des Anglais. La Grande-Bretagne ne se lasse pas d’un feuilleton médiatique qui touche à sa fin. Le « Wagatha Christie », comprendre le WAG pour « Wifes and girlfriends » ou en français les femmes et les petites-amies, est un procès qui oppose deux femmes de footballeurs, Rebekah Vardy et Coleen Rooney.
Un « guéguerre » sur les réseaux sociaux
Leur maris sont des légendes du ballon rond et les voici elles dans la légende de la justice britannique. Un crépage de chignon, loin des intrigues d’Agatha Christie. Tout commence lorsque la femme de la star Rooney, Coleen, accuse la femme de Vardy, attaquant de Leicester City, de transmettre à la presse à scandale des potins la concernant. Mieux, Coleen explique à toute sa communauté d’abonnés comment elle a mené l’enquête et piégé son ancienne amie.
Rapidement, Rebeka Vardy contre-attaque et poursuit en justice sa consœur pour diffamation. Oubliez le fair-play : les deux influenceuses se chamaillent sur les réseaux sociaux, ce qui a régalé nos amis d’outre-Manche. Chacun a choisi son camp via les réseaux sociaux et ont participé à l’affaire.
Le procès en mai dernier fut très médiatisé mais surtout très couteux : il se chiffrerait en millions de livres. Finalement, c’est Coleen Rooney, l’accusatrice principale, qui remporte le match. C’est donc à la divulgatrice de secrets de régler la facture de cette « guéguerre », aux coups pas très francs.