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Le président de la transition en Guinée est accusé par des familles de victimes et le Front national pour la défense de la constitution de « complicité d’homicides et de torture ». Réaction des avocats chargés de l’affaire.
Le président malien conditionne désormais la libération des 46 militaires ivoiriens détenus à Bamako par l’extradition de personnalités politiques maliennes.
Et les autorités tigréennes se disent ouvertes à une reprise des négociations de paix avec le gouvernement fédéral sous l’égide de l’Union Africaine.