# JE COMPRENDS: OURYEL (« FRENCHIE SHORE ») RÉPOND À LA MINISTRE DE LA CULTURE, RIMA ABDUL MALAK
La télé-réalité « Frenchie Store » a récemment suscité une vive polémique, avec des accusations de contenus obscènes et de pornographie émanant de la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak. Diffusée sur la plateforme Paramount+, cette émission produit par Arthur via sa société de production Ah Prod a fait réagir le public, en particulier sur les réseaux sociaux tels que TikTok. La ministre de la Culture a exprimé son inquiétude quant à l’impact de cette télé-réalité sur les jeunes téléspectateurs, décriant une image désastreuse des relations privées véhiculée par le programme.
LE POINT DE VUE DE OURYEL
Le samedi 25 novembre 2023, Ouryel, candidate de « Frenchie Store », a répondu aux critiques lors d’une interview avec Aurélie Casse. Elle a exprimé sa compréhension de l’inquiétude soulevée par la ministre de la Culture tout en soulignant le caractère privé et payant de la plateforme de diffusion, rendant difficile toute régulation des contenus. Avec 15 000 abonnés sur Instagram, Ouryel a également évoqué la comparaison entre son émission et les productions pornographiques diffusées sur Canal+, invoquant le caractère flouté des scènes et l’interdiction aux moins de 16 ans.
UNE RÉPONSE DE LA PRODUCTION
De son côté, Arthur a également défendu « Frenchie Store », affirmant que le programme était comparable à un film porno diffusé le samedi soir sur une chaîne payante. Il a souligné que l’émission était floutée et réservée à un public averti, en mettant en avant l’aspect payant de la plateforme sur laquelle elle est diffusée.
MOTS CLÉS SECONDAIRES: TikTok, émission de télé-réalité, polémique, régulation des contenus
En résumé, la controverse entourant « Frenchie Store » met en lumière la difficulté de réguler les contenus diffusés sur les plateformes de streaming, notamment lorsqu’elles ne relèvent pas de la juridiction française. Cette situation soulève des questions sur la responsabilité des producteurs de contenus et des plateformes de diffusion quant à l’impact sociétal de leurs programmes. La comparaison avec la diffusion de films pornographiques sur des chaînes payantes rappelle également les débats sur la censure et la liberté d’expression à l’ère numérique.
Pour en savoir plus sur cette polémique, consultez les articles suivants :
– [Article 1](lien_article1)
– [Article 2](lien_article2)