Image de couverture : Près d’un moulin détruit lors d’une attaque de missiles russes à Zaporijia, en Ukraine, le 14 octobre 2022. STRINGER / REUTERS
- Le gouverneur de l’oblast de Zaporijia Oleksandr Staroukh, a fait savoir sur Telegram dans la nuit de vendredi à samedi que la Russie avait frappé la ville de Zaporijia avec des missiles, sans fournir plus de détails. Plus tôt dans la nuit, son maire Anatolii Kurtiev avait déclaré que des infrastructures avaient été touchées par des attaques aux drones kamikazes sans donner de précision sur d’éventuelles victimes.
- L’Arabie saoudite a annoncé, samedi, une aide humanitaire de 400 millions de dollars pour L’Ukraine. Le prince héritier Mohammed Ben Salman, qui a téléphoné au président ukrainien Volodymyr Zelensky, a souligné « la position du royaume de soutenir tout ce qui contribuera à la désescalade, et la volonté du royaume de poursuivre les efforts de médiation ».
- Les Etats-Unis vont, eux, fournir 725 millions de dollars supplémentaires d’aide militaire à l’Ukraine pour sa défense, a annoncé Washington. Ce nouveau lot comprend notamment des munitions de Himars, un lance-roquettes monté sur des blindés légers, plus de 23 000 obus d’artillerie, 5 000 mines antiblindés opérées à distance, 5 000 armes antichars ou encore 200 véhicules Humvees de transport.
- Le président russe Vladimir s’est montré satisfait des opérations menées en Ukraine, vendredi, devant la presse au Kazakhstan à l’issue de sommets régionaux. « Ce n’est pas agréable ce qui se passe maintenant, mais [si la Russie n’avait pas attaqué l’Ukraine], on aurait été dans la même situation un peu plus tard, les conditions auraient juste été plus mauvaises pour nous. Donc, nous faisons tout comme il faut », a expliqué le maître du Kremlin.
- Une station électrique située à Belgorod, dans l’extrême ouest de la Russie, « a pris feu » vendredi après une frappe ukrainienne, a annoncé le gouverneur de la région frontalière de l’Ukraine où elle se trouve, Viatcheslav Gladkov, selon lequel l’incendie a finalement été maîtrisé.
- Le quotidien breton Le Télégramme a rapporté le passage, à la fin de septembre, d’un sous-marin d’attaque russe, le Novorossiïsk, accompagné de son remorqueur, dans le golfe de Gascogne, à 100 kilomètres de la pointe bretonne. L’engin a finalement été escorté par la frégate multimissions Normandie, basée à Brest.
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