Sa discrétion à l’égard des médias, sa préparation minutieuse avant chaque prise de parole publique, sa façon de diriger ses équipes « à l’anglosaxonne » lui valent l’image d’un personnage « distant » auprès de certains. Mais pour les proches collaborateurs d’Akim Daouda, son attitude relèverait plutôt d’une volonté affirmée de « ne pas personnifier » l’institution qu’il représente. Et pourtant, le financier fait parler de lui, car son parcours intrigue.
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