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Reproduit le sens de ce titre sans le reproduir: Décès de Jimmy Carter, ancien président américain “humaniste” et “incompris”

Décès de Jimmy Carter, ancien président américain “humaniste” et “incompris”


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“Jimmy Carter était un homme bon qui fut président à une mauvaise époque”, résume le Wall Street Journal. Le démocrate, qui avait pris les rênes des États-Unis en 1977, après le scandale du Watergate et la démission de Richard Nixon, est décédé dimanche à son domicile de Plains, dans l’État de Géorgie, 43 ans après son départ de la Maison-Blanche.

L’ancien président américain avait annoncé en 2015 qu’il souffrait d’un cancer du cerveau et avait été hospitalisé à de nombreuses reprises, avant de décider en février 2023 de rentrer définitivement à son domicile pour y recevoir des soins palliatifs. Il avait fêté ses cent ans le 1er octobre dernier.

“Mon père était un héros, pas uniquement pour moi, mais pour tous ceux qui croient en la paix, aux droits de l’Homme et à l’amour désintéressé”, a déclaré son fils Chip Carter dans l’avis de décès envoyé aux médias par la fondation Carter Center, dimanche à la mi-journée.

Un président “dépassé”

Ses successeurs ont rivalisé d’hommages, Joe Biden demandant aux Américains de juger la vie de Jimmy Carter “à l’aune de ce qu’il fait” et Donald Trump observant que l’ancien président avait “travaillé dur pour que l’Amérique soit meilleure”.

“Homme remarquable”, selon Barack Obama, il a “œuvré sans relâche pour un monde meilleur et plus juste” a jugé Bill Clinton. Ce qu’il a accompli “inspirera des générations d’Américains” a salué pour sa part le républicain George W. Bush.

Sa postérité était pourtant loin d’être assurée, après un mandat (1977-1981) considéré par beaucoup, aujourd’hui encore, comme un échec.

Quatre années marquées “par des circonstances et des événements qui l’ont tout simplement dépassé”, remarque le New York Times, que ce soit “la capture en Iran de 52 otages américains, la tentative ratée de les secourir, les files d’attente aux pompes à essence, l’inflation” ou encore “l’invasion soviétique de l’Afghanistan”.

Pendant ses quatre ans à la Maison-Blanche, “les priorités de Carter étaient le contrôle des armes, les droits de l’homme et l’écologie – un programme incompris face à une inflation galopante et aux problèmes de politique étrangère”, observe El País. “Intelligent, travailleur, honnête, religieux et pragmatique, ces vertus n’ont pas aidé Carter à conserver le soutien de l’électorat”, ajoute le quotidien madrilène.

“Bonnes intentions et caractère admirable”

Après les années Nixon, le profil de Jimmy Carter, était pourtant séduisant, note Politico. Le natif de Géorgie “avait une telle confiance dans son improbable parcours vers la Maison-Blanche qu’il pariait que les Américains, épuisés par le Vietnam et le Watergate, accueilleraient un nouveau type de président : un producteur de cacahuètes qui portait ses propres sacs, s’inquiétait de la facture de chauffage et disait les choses à peu près comme elles étaient. Et pendant un temps, les électeurs l’ont suivi”, écrit le site.

“Carter est venu à la Maison-Blanche avec de bonnes intentions et un caractère admirable, mais il a été incapable de résoudre les principaux problèmes de son époque”, tranche le Wall Street Journal dans son éditorial. “Les démocrates l’ont présenté comme un nouveau visage dans une époque de centre droit de la politique américaine, mais il a été écrasé par l’aile gauche [du parti démocrate] et sa présidence a ouvert la voie à la grande restauration de Reagan”, face à qui Carter dut s’incliner à la présidentielle de 1980.

Pour controversée qu’elle soit, sa présidence n’a pas aligné que les échecs, souligne Le Temps, pour qui “l’un de ses grands faits d’armes fut, à n’en pas douter, les accords de Camp David de 1979 par lesquels l’Israël de Menahem Begin et l’Égypte d’Anouar el-Sadate conclurent un traité de paix”.

“Depuis, de nombreuses tentatives de paix au Moyen-Orient ont été entreprises, notamment dans le cadre du processus d’Oslo, mais aucun accord n’a eu la même portée”, note le titre suisse.

Il a en outre “normalisé, après la diplomatie d’ouverture de Nixon et Kissinger avec Pékin, les relations avec la Chine” et son administration a su “remettre en bonne et due forme le canal de Panama au Panama”.

“L’un des plus grands ex-présidents américains”

Mais c’est surtout le demi-siècle qui a suivi son départ de la Maison-Blanche qui a assuré la postérité de Jimmy Carter, relève le New York Times. Il est en effet considéré comme “l’un des plus grands ex-présidents américains”, pour avoir usé de son aura “pour aider ses successeurs et son pays en tant qu’artisan de la paix, diplomate de l’ombre, défenseur des droits de l’homme, observateur d’élections libres et défenseur des sans-abri”, nuance le quotidien américain.

Un engagement qui lui vaudra en 2002 le prix Nobel de la paix, pour “ses décennies d’efforts infatigables afin de trouver des solutions pacifiques à des conflits internationaux”, selon le comité Nobel.

“Avec son décès, les États-Unis disent adieu à un dirigeant dont la carrière reflète l’engagement, l’intégrité et les efforts incessants pour rendre le monde meilleur”, estime La República au Pérou. “La vie de Jimmy Carter est un exemple de l’impact qu’un dirigeant peut avoir au-delà de son mandat, dont l’influence perdure tout au long de l’histoire”.

“Jimmy Carter a été l’incarnation de valeurs morales aux antipodes de celle d’un Donald Trump”, renchérit Le Temps. Il “figurera dans les livres d’histoire” comme “un grand humaniste”, conclut le quotidien de Lausanne.

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