« Ma ligne directrice a toujours été le développement de l’Afrique. Et pour ce faire, les organismes internationaux, en particulier les banques de développement, me semblent être les tremplins les plus impactants », explique Abdoul Salam Bello. À 45 ans, le Nigérien a enchaîné les postes au service du continent : économiste à la Banque islamique de développement (BID), en Arabie saoudite, et directeur de cabinet du secrétaire exécutif de l’Agence du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (Auda-Nepad), en Afrique du Sud, chargé de projet senior à la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD).