On les choque, on les fait, on est très néfastes, très vénères, le rap, on le fiste T'as pris plus de traits que la piste, après, tu pète les plombs sur nos phases On n'est pas d'ceux qui d'mandent dans le quartier, crosse des cartilages, pas de sortilèges J'suis dans les montagnes, c'est bizarre, il neige, coke en chaîne, chaîne, j'suis vers Chefchaouen Nous, on changes pas, même pas quand y a plein d'chabines, le baveux me répond en plein Chabbat Y a beaucoup de blanches, du papier, t'as peur, d'mande à PLK, y a trop d'tapeurs J'achète une keh avec trente milles, d'abord, tu veux toute la somme ? J'te donne dix d'abord Tu dois des FAFS mais tu nous joues l'papy, t'es qu'un trou du cul comme Jee Baber
J'sais faire qu'encaisser, dépenser, t'es comme P.P, gros, t'es dépassé Ruinart blanc de blanc, affaire classée (Ouais, ouais) Jubilé, pas éléc' le bracelet (Ouais, ouais)
J'ais mis le Bois d'Argent (Carré), elle a senti l'argent ('gent) Elle a conduit la loc' (La loc'), elle a rayé la jante (La jante) Armes de l'Est, c'est la Serbie ('bie), Ketama, j'roule un p'tit (Un p'tit) Et même si, y a d'la zip', on dit : "Y a rien, c'est la sère-mi" Business class, aéroport, elle a vu les sous, vu les scores ('cores, 'cores, 'cores, 'cores, 'cores) Coupé, cabriolet sport (Sport), ta femme, c'était une escorte
J'm'enfume comme un Gwada, punis comme à Bois d'Ar', j'descend sur les Champs, j'pue l'oseille, j'ai mis l'Bois d'Argent (C'est carré) On peut tout acheter, sauf la vie, des couilles et la chance (Pa-pa-pah) Un pare-balles, c'est deux plaques, un gilet, pour finir au shtar avec deux plaques, un Gillette (Un rasoir) Discret, ça coffrait tout chez Ginette, une seule bastos pour faire cavaler dix mecs (Pah) Au Parc, j'bois du champ', invité par Nasser comme s'il y avait mon fils qui jouait numéro dix (Oui) T'es à fond avec elle, sin-cou mais pour elle, t'es qu'un numéro bis Ça tapine pas pour payer ses études (Nan), c'est pas la Californie (c'est Bériz) C'est l'neuf-deux, c'est l'neuf-trois, la zipette arrive à Paris-Orly, eh
J'sais faire qu'encaisser, dépenser, t'es comme P.P, gros, t'es dépassé Ruinart blanc de blanc, affaire classée (Ouais, ouais) Jubilé, pas éléc' le bracelet (Ouais, ouais)
J'ai mis le Bois d'Argent (Carré), elle a senti l'argent ('gent) Elle a conduit la loc' (La loc'), elle a rayé la jante (La jante) Armes de l'Est, c'est la Serbie ('bie), Ketama, j'roule un p'tit (Un p'tit) Et même si, y a d'la zip', on dit : "Y a rien, c'est la sère-mi" Business class, aéroport, elle a vu les sous, vu les scores ('cores, 'cores, 'cores, 'cores, 'cores) Coupé, cabriolet sport (Sport), ta femme, c'était une escorte
LYCRISSS En Tunisie, on assiste aujourd’hui au retour d'une forme d'esclavage qu'on pensait bannie. Des femmes migrantes subsahariennes sont employées dans des maisons, comme domestiques, contre leur gré et sans salaire.
De riches familles les exploitent
Des témoignages livrés par ces femmes révèlent qu'elles viennent de Côte d’Ivoire, du Cameroun ou encore du Nigeria. Elles expliquent comment les passeurs, dans leur pays d’origine, leur ont raconté une toute autre histoire que celle qu’elles allaient vivre une fois arrivées en Tunisie, pourtant l’un des premiers pays à avoir aboli l'esclavage, le 23 janvier 1846. Ces femmes pensaient y trouver un travail décent, payé correctement.
À l’aéroport de Tunis, elles sont emmenées directement dans des demeures généralement occupées par de riches familles tunisiennes qui leur confisquent leur passeport et les obligent à récurer, cuisiner quasiment non-stop. Les victimes racontent comment ces familles souvent les rappellent à l’ordre en leur disant "tu es mon esclave". Elles racontent aussi comment les propriétaires font parfois pression sur elles pour obtenir des rapports sexuels.
Des femmes privées de liberté
Le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, a bien annoncé que chaque 23 janvier serait désormais célébrée la fête nationale de l’abolition de l’esclavage. Pour autant, les autorités ne font pas assez, voire rien, d'après les associations tunisiennes œuvrant contre la traite des êtres humains. Ces associations reconnaissent aussi que la Tunisie, écrasée par une crise économique et politique, n'a pas les moyens de lutter contre ces trafics. Et ce qui complique la tâche des autorités qui voudraient lutter contre cette nouvelle forme d'esclavage, c'est que les familles qui emploient des migrantes refusent que ces femmes mettent le nez dehors. Les employeurs redoutent que ces migrantes prennent la fuite et ils ne veulent pas attirer l’attention des autorités.
Les migrantes, qui ont témoigné pour franceinfo et qui ont pu s’enfuir, racontent souvent que l'unique sortie qui leur avait été accordée, sous escorte de la famille tunisienne, concernait une visite médicale pour des analyses. Fréquemment, les familles tunisiennes veulent s’assurer que les migrantes n’ont pas le HIV, pour leur propre sécurité, et non pas celle de leurs employées sans salaire.
L'Europe visée par des ONG
De plus en plus de migrants passent par la Tunisie pour tenter ensuite de rejoindre l'Europe, en traversant la Méditerranée. Les femmes sont donc de plus en plus nombreuses à être happées par les trafiquants et à se voir bloquées dans ces maisons. C'est pourquoi, les associations condamnent surtout l’Europe qui ferme la Méditerranée et fait pression pour que la Tunisie gère elle-même ces migrants qu’elle ne veut pas voir arriver sur ses terres. L’Europe fait preuve d’une "lâcheté criminelle qui nourrit ces nouvelles formes d’esclavage", a affirmé, il y a quelques jours, le responsable de l'ONG Euromed rights, basée à Tunis.
PAROLE En Tunisie, on assiste aujourd’hui au retour d'une forme d'esclavage qu'on pensait bannie. Des femmes migrantes subsahariennes sont employées dans des maisons, comme domestiques, contre leur gré et sans salaire.
De riches familles les exploitent
Des témoignages livrés par ces femmes révèlent qu'elles viennent de Côte d’Ivoire, du Cameroun ou encore du Nigeria. Elles expliquent comment les passeurs, dans leur pays d’origine, leur ont raconté une toute autre histoire que celle qu’elles allaient vivre une fois arrivées en Tunisie, pourtant l’un des premiers pays à avoir aboli l'esclavage, le 23 janvier 1846. Ces femmes pensaient y trouver un travail décent, payé correctement.
À l’aéroport de Tunis, elles sont emmenées directement dans des demeures généralement occupées par de riches familles tunisiennes qui leur confisquent leur passeport et les obligent à récurer, cuisiner quasiment non-stop. Les victimes racontent comment ces familles souvent les rappellent à l’ordre en leur disant "tu es mon esclave". Elles racontent aussi comment les propriétaires font parfois pression sur elles pour obtenir des rapports sexuels.
Des femmes privées de liberté
Le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, a bien annoncé que chaque 23 janvier serait désormais célébrée la fête nationale de l’abolition de l’esclavage. Pour autant, les autorités ne font pas assez, voire rien, d'après les associations tunisiennes œuvrant contre la traite des êtres humains. Ces associations reconnaissent aussi que la Tunisie, écrasée par une crise économique et politique, n'a pas les moyens de lutter contre ces trafics. Et ce qui complique la tâche des autorités qui voudraient lutter contre cette nouvelle forme d'esclavage, c'est que les familles qui emploient des migrantes refusent que ces femmes mettent le nez dehors. Les employeurs redoutent que ces migrantes prennent la fuite et ils ne veulent pas attirer l’attention des autorités.
Les migrantes, qui ont témoigné pour franceinfo et qui ont pu s’enfuir, racontent souvent que l'unique sortie qui leur avait été accordée, sous escorte de la famille tunisienne, concernait une visite médicale pour des analyses. Fréquemment, les familles tunisiennes veulent s’assurer que les migrantes n’ont pas le HIV, pour leur propre sécurité, et non pas celle de leurs employées sans salaire.
L'Europe visée par des ONG
De plus en plus de migrants passent par la Tunisie pour tenter ensuite de rejoindre l'Europe, en traversant la Méditerranée. Les femmes sont donc de plus en plus nombreuses à être happées par les trafiquants et à se voir bloquées dans ces maisons. C'est pourquoi, les associations condamnent surtout l’Europe qui ferme la Méditerranée et fait pression pour que la Tunisie gère elle-même ces migrants qu’elle ne veut pas voir arriver sur ses terres. L’Europe fait preuve d’une "lâcheté criminelle qui nourrit ces nouvelles formes d’esclavage", a affirmé, il y a quelques jours, le responsable de l'ONG Euromed rights, basée à Tunis.
Le bosse
🇷🇸❤
Lourdddddddddddddd
On les choque, on les fait, on est très néfastes, très vénères, le rap, on le fiste
T'as pris plus de traits que la piste, après, tu pète les plombs sur nos phases
On n'est pas d'ceux qui d'mandent dans le quartier, crosse des cartilages, pas de sortilèges
J'suis dans les montagnes, c'est bizarre, il neige, coke en chaîne, chaîne, j'suis vers Chefchaouen
Nous, on changes pas, même pas quand y a plein d'chabines, le baveux me répond en plein Chabbat
Y a beaucoup de blanches, du papier, t'as peur, d'mande à PLK, y a trop d'tapeurs
J'achète une keh avec trente milles, d'abord, tu veux toute la somme ? J'te donne dix d'abord
Tu dois des FAFS mais tu nous joues l'papy, t'es qu'un trou du cul comme Jee Baber
J'sais faire qu'encaisser, dépenser, t'es comme P.P, gros, t'es dépassé
Ruinart blanc de blanc, affaire classée (Ouais, ouais)
Jubilé, pas éléc' le bracelet (Ouais, ouais)
J'ais mis le Bois d'Argent (Carré), elle a senti l'argent ('gent)
Elle a conduit la loc' (La loc'), elle a rayé la jante (La jante)
Armes de l'Est, c'est la Serbie ('bie), Ketama, j'roule un p'tit (Un p'tit)
Et même si, y a d'la zip', on dit : "Y a rien, c'est la sère-mi"
Business class, aéroport, elle a vu les sous, vu les scores ('cores, 'cores, 'cores, 'cores, 'cores)
Coupé, cabriolet sport (Sport), ta femme, c'était une escorte
J'm'enfume comme un Gwada, punis comme à Bois d'Ar', j'descend sur les Champs, j'pue l'oseille, j'ai mis l'Bois d'Argent (C'est carré)
On peut tout acheter, sauf la vie, des couilles et la chance (Pa-pa-pah)
Un pare-balles, c'est deux plaques, un gilet, pour finir au shtar avec deux plaques, un Gillette (Un rasoir)
Discret, ça coffrait tout chez Ginette, une seule bastos pour faire cavaler dix mecs (Pah)
Au Parc, j'bois du champ', invité par Nasser comme s'il y avait mon fils qui jouait numéro dix (Oui)
T'es à fond avec elle, sin-cou mais pour elle, t'es qu'un numéro bis
Ça tapine pas pour payer ses études (Nan), c'est pas la Californie (c'est Bériz)
C'est l'neuf-deux, c'est l'neuf-trois, la zipette arrive à Paris-Orly, eh
J'sais faire qu'encaisser, dépenser, t'es comme P.P, gros, t'es dépassé
Ruinart blanc de blanc, affaire classée (Ouais, ouais)
Jubilé, pas éléc' le bracelet (Ouais, ouais)
J'ai mis le Bois d'Argent (Carré), elle a senti l'argent ('gent)
Elle a conduit la loc' (La loc'), elle a rayé la jante (La jante)
Armes de l'Est, c'est la Serbie ('bie), Ketama, j'roule un p'tit (Un p'tit)
Et même si, y a d'la zip', on dit : "Y a rien, c'est la sère-mi"
Business class, aéroport, elle a vu les sous, vu les scores ('cores, 'cores, 'cores, 'cores, 'cores)
Coupé, cabriolet sport (Sport), ta femme, c'était une escorte
Han-han-han-han-han-han
Han-han-han-han-han-han
Han-han-han-han-han-han
Han-han-han-han-han-han
Le son est incroyable 💫
🇷🇸🇷🇸🇷🇸
🇷🇸
Si si vous avez fini avec ça les Frères, bravo et Courage et Force à vous les Frères ❤️🙏🤲☝️🤲🙏❤️
mais wech wlh il est fort
Arme de L'est c'est la Serbie 🇷🇸
Ntm s@l btr 🇦🇱🇽🇰🦅
🇦🇱🇦🇱🇦🇱🇦🇱✨
Comment ca l’Albanie c’est la serbie???
🔥🔥🔥
Werenoi c’est le seul rappeur qui fais ramener ces tapin pour cliper 😂😂😂🥷🏼🥷🏼
incroyable
🇷🇸🇷🇸🇷🇸🇷🇸🇷🇸
Ça s’dit comment son blaze « ouai-renoi »?
Werenoi et SDM sont la relève du rap français !
🇷🇸🇷🇸🇷🇸
1 balle pour faire cavaler 10 mecs ! C'est bon mon fils joue number 10
Arme de c'est la Serbie🇷🇸
Serbie
Le Cameroun 🇨🇲 reprend le trône du rap Fr 💪💪💪
du lourd grave je kiffe de ouf! ça booste grave…
c’est moi ou il dis serbie ?
Wenegro × Pilate 🥷🏴☠️🖤🤣
En big 2023 ça fais encore des clips avec des femmes à moitié à poil mdddr
Si seulement on pouvait avoir l’insta de toutes ces meufs😢
c bariz suis en cross en ce reverra gros
LYCRISSS
En Tunisie, on assiste aujourd’hui au retour d'une forme d'esclavage qu'on pensait bannie. Des femmes migrantes subsahariennes sont employées dans des maisons, comme domestiques, contre leur gré et sans salaire.
De riches familles les exploitent
Des témoignages livrés par ces femmes révèlent qu'elles viennent de Côte d’Ivoire, du Cameroun ou encore du Nigeria. Elles expliquent comment les passeurs, dans leur pays d’origine, leur ont raconté une toute autre histoire que celle qu’elles allaient vivre une fois arrivées en Tunisie, pourtant l’un des premiers pays à avoir aboli l'esclavage, le 23 janvier 1846. Ces femmes pensaient y trouver un travail décent, payé correctement.
À l’aéroport de Tunis, elles sont emmenées directement dans des demeures généralement occupées par de riches familles tunisiennes qui leur confisquent leur passeport et les obligent à récurer, cuisiner quasiment non-stop. Les victimes racontent comment ces familles souvent les rappellent à l’ordre en leur disant "tu es mon esclave". Elles racontent aussi comment les propriétaires font parfois pression sur elles pour obtenir des rapports sexuels.
Des femmes privées de liberté
Le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, a bien annoncé que chaque 23 janvier serait désormais célébrée la fête nationale de l’abolition de l’esclavage. Pour autant, les autorités ne font pas assez, voire rien, d'après les associations tunisiennes œuvrant contre la traite des êtres humains. Ces associations reconnaissent aussi que la Tunisie, écrasée par une crise économique et politique, n'a pas les moyens de lutter contre ces trafics. Et ce qui complique la tâche des autorités qui voudraient lutter contre cette nouvelle forme d'esclavage, c'est que les familles qui emploient des migrantes refusent que ces femmes mettent le nez dehors. Les employeurs redoutent que ces migrantes prennent la fuite et ils ne veulent pas attirer l’attention des autorités.
Les migrantes, qui ont témoigné pour franceinfo et qui ont pu s’enfuir, racontent souvent que l'unique sortie qui leur avait été accordée, sous escorte de la famille tunisienne, concernait une visite médicale pour des analyses. Fréquemment, les familles tunisiennes veulent s’assurer que les migrantes n’ont pas le HIV, pour leur propre sécurité, et non pas celle de leurs employées sans salaire.
L'Europe visée par des ONG
De plus en plus de migrants passent par la Tunisie pour tenter ensuite de rejoindre l'Europe, en traversant la Méditerranée. Les femmes sont donc de plus en plus nombreuses à être happées par les trafiquants et à se voir bloquées dans ces maisons. C'est pourquoi, les associations condamnent surtout l’Europe qui ferme la Méditerranée et fait pression pour que la Tunisie gère elle-même ces migrants qu’elle ne veut pas voir arriver sur ses terres. L’Europe fait preuve d’une "lâcheté criminelle qui nourrit ces nouvelles formes d’esclavage", a affirmé, il y a quelques jours, le responsable de l'ONG Euromed rights, basée à Tunis.
PAROLE
En Tunisie, on assiste aujourd’hui au retour d'une forme d'esclavage qu'on pensait bannie. Des femmes migrantes subsahariennes sont employées dans des maisons, comme domestiques, contre leur gré et sans salaire.
De riches familles les exploitent
Des témoignages livrés par ces femmes révèlent qu'elles viennent de Côte d’Ivoire, du Cameroun ou encore du Nigeria. Elles expliquent comment les passeurs, dans leur pays d’origine, leur ont raconté une toute autre histoire que celle qu’elles allaient vivre une fois arrivées en Tunisie, pourtant l’un des premiers pays à avoir aboli l'esclavage, le 23 janvier 1846. Ces femmes pensaient y trouver un travail décent, payé correctement.
À l’aéroport de Tunis, elles sont emmenées directement dans des demeures généralement occupées par de riches familles tunisiennes qui leur confisquent leur passeport et les obligent à récurer, cuisiner quasiment non-stop. Les victimes racontent comment ces familles souvent les rappellent à l’ordre en leur disant "tu es mon esclave". Elles racontent aussi comment les propriétaires font parfois pression sur elles pour obtenir des rapports sexuels.
Des femmes privées de liberté
Le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, a bien annoncé que chaque 23 janvier serait désormais célébrée la fête nationale de l’abolition de l’esclavage. Pour autant, les autorités ne font pas assez, voire rien, d'après les associations tunisiennes œuvrant contre la traite des êtres humains. Ces associations reconnaissent aussi que la Tunisie, écrasée par une crise économique et politique, n'a pas les moyens de lutter contre ces trafics. Et ce qui complique la tâche des autorités qui voudraient lutter contre cette nouvelle forme d'esclavage, c'est que les familles qui emploient des migrantes refusent que ces femmes mettent le nez dehors. Les employeurs redoutent que ces migrantes prennent la fuite et ils ne veulent pas attirer l’attention des autorités.
Les migrantes, qui ont témoigné pour franceinfo et qui ont pu s’enfuir, racontent souvent que l'unique sortie qui leur avait été accordée, sous escorte de la famille tunisienne, concernait une visite médicale pour des analyses. Fréquemment, les familles tunisiennes veulent s’assurer que les migrantes n’ont pas le HIV, pour leur propre sécurité, et non pas celle de leurs employées sans salaire.
L'Europe visée par des ONG
De plus en plus de migrants passent par la Tunisie pour tenter ensuite de rejoindre l'Europe, en traversant la Méditerranée. Les femmes sont donc de plus en plus nombreuses à être happées par les trafiquants et à se voir bloquées dans ces maisons. C'est pourquoi, les associations condamnent surtout l’Europe qui ferme la Méditerranée et fait pression pour que la Tunisie gère elle-même ces migrants qu’elle ne veut pas voir arriver sur ses terres. L’Europe fait preuve d’une "lâcheté criminelle qui nourrit ces nouvelles formes d’esclavage", a affirmé, il y a quelques jours, le responsable de l'ONG Euromed rights, basée à Tunis.
Pas facile d’écrire 2 fois le même titre mdr, mais lourd le son 💪
Joyeux anniversaire 🎂 à mes escortes girls 🦧
PLK passe sur tous les feat
Werenoi il à lâcher un saaaaale truuuuc 😳😳😳
g l'impression que toute sa carrière et un sans faute
Je préfère telegram perso.
Plk trop danger sal