WASHINGTON ENTEND RIPOSTER À UNE ATTAQUE MORTELLE EN JORDANIE
Le 7 octobre dernier, un massacre inédit a été perpétré en Israël par le mouvement islamiste Hamas. Suite à cet événement tragique, Israël a lancé une opération militaire sans précédent contre le Hamas dans la bande de Gaza. En réaction, des groupes affiliés à l’Iran ont multiplié les attaques contre les installations américaines en Irak et en Syrie, dans une escalade de violence qui n’a rien arrangé à la situation déjà tendue au Moyen-Orient. Cette vague d’attentats a pris une tournure critique avec une attaque à la frontière jordanienne, à laquelle les États-Unis ont décidé de riposter. En effet, Washington avait averti l’Iran d’une « attaque imminente », et celle-ci a finalement eu lieu. Cette situation a engendré une série de condamnations et a mis sous pression l’administration Biden.
L’ÉVOLUTION DES ÉVÉNEMENTS
Depuis l’opération militaire lancée par Israël contre le Hamas, les attaques contre les installations américaines en Irak et en Syrie se sont multipliées. Le 7 octobre, un massacre sans précédent a été perpétré en Israël par le mouvement islamiste Hamas. En réaction à ces événements, Israël a lancé une opération militaire sans précédent contre le Hamas dans la bande de Gaza. Cette escalade de violence a engendré une augmentation de la fréquence des attaques contre les installations américaines en Irak et en Syrie, menées par des groupes affiliés à l’Iran.
Le 26 janvier, une attaque a eu lieu à la frontière jordanienne, provoquant la riposte des États-Unis. Téhéran a affirmé ne pas être impliqué dans cette attaque, déclarant qu’il existait un conflit entre les forces américaines et les groupes de résistance dans la région. Cependant, de nombreuses milices qui résistent à la présence israélienne et américaine dans la région sont sous l’influence de Téhéran. Les tensions entre les États-Unis et l’Iran sont donc exacerbées par ces événements.
RÉACTIONS ET CONDAMNATIONS
Suite à cette attaque, l’Iran a affirmé ne pas être impliqué et a souligné qu’il existait un conflit entre les forces américaines et les groupes de résistance dans la région. L’Irak, tout comme la Jordanie, a condamné l’attaque et a appelé à « arrêter la spirale de la violence » au Moyen-Orient. Aux États-Unis, l’administration Biden a été mise sous pression suite à cet événement, poussant le président démocrate à envoyer un message ferme à l’Iran. En réaction, Donald Trump, potentiel rival du président démocrate à la prochaine élection présidentielle, a critiqué l’administration Biden, qualifiant son adversaire démocrate de « faible » et assurant que cette attaque n’aurait « jamais » eu lieu sous son mandat.
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Pour plus d’information sur cette attaque, veuillez consulter les liens suivants :
– Washington avait averti l’Iran d’une « attaque imminente »
– L’Irak et les États-Unis vont tenter de s’entendre sur le retrait des troupes étrangères du pays
