Le nombre de morts de ces journées de violence est passé à quatre, selon un bilan concordant du Front national de la défense de la constitution (FNDC), à l’origine du mot d’ordre, et de l’Organisation guinéenne de défense des droits de l’homme (OGDH).
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Les organisateurs de la manifestation, non autorisée par les autorités, évoquent par ailleurs une centaine d’interpellations quand le parquet du tribunal de première instance de Dixinn en dénombre une soixantaine. Les procès de ces manifestants s’ouvriront dès ce lundi 1er août, comme le veut la procédure de flagrant délit.