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La fin de Folie à Deux est inspirée d’une idée abandonnée pour le premier film.

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FOLIE À DEUX’S ENDING CAME FROM A SCRAPPED IDEA FOR THE FIRST FILM

LETERE a publié un article sur la séquence finale de Joker: Folie à Deux, soulignant que l’idée provient en réalité du premier film de la franchise. L’article met en lumière l’opinion controversée du réalisateur Christopher Nolan concernant la cicatrice en forme de sourire, symbolique du personnage de Joker. Selon une source citée par le Hollywood Reporter, le script original du premier Joker aurait présenté une scène finale similaire à celle de Folie à Deux, où Arthur Fleck, interprété par Joaquin Phoenix, se serait lui-même marqué d’un sourire emblématique. Cependant, cette idée a été abandonnée en raison du veto de Christopher Nolan, qui estimait que seul l’interprétation de Heath Ledger méritait cette distinction.

LE RÔLE DE CHRISTOPHER NOLAN DANS L’ÉVOLUTION DE L’UNIVERS JOKER

En outre, l’article soulève le contexte de la relation étroite entre Christopher Nolan et Warner Bros. à l’époque du premier Joker. Cette relation s’est détériorée à la suite de désaccords liés à la pandémie de 2020, qui ont culminé avec le refus de Nolan de la stratégie de Warner Bros. de diffuser ses films de 2021 en streaming sur leur plateforme Max. Les critiques du réalisateur envers la décision de Warner Bros. ont conduit à une rupture de leur partenariat, Nolan choisissant de travailler avec Universal pour son film Oppenheimer.

Une dynamique complexe entre les deux partenaires

Cette séquence d’événements a influencé la décision concernant la scène finale de Joker, révélant une dynamique complexe entre Nolan, Warner Bros. et le réalisateur Todd Phillips. Bien que Nolan ait exercé une influence significative sur le processus de décision, le refus de valider la scène de marquage du sourire montre qu’il avait encore un pouvoir de persuasion important au sein du studio. Cette décision a eu un impact direct sur la conclusion de Folie à Deux et a contribué à la controverse entourant le film.

Les implications d’une vision artistique divergente

Cette anecdote met en lumière les implications d’une vision artistique divergente au sein d’un studio de cinéma et les compromis parfois nécessaires pour maintenir l’harmonie créative. Alors que la saga Joker a connu un succès critique et commercial, les coulisses de sa production révèlent les tensions et les luttes de pouvoir qui peuvent survenir entre les différentes parties prenantes. Ces éléments ont contribué à façonner l’évolution de l’univers cinématographique du Joker et à influencer les choix artistiques des réalisateurs impliqués.

RESTER DANS UNE APPROCHE PÉDAGOGIQUE

Aplliquant une approche pédagogique, cet article met en lumière l’importance des décisions artistiques et des compromis dans l’industrie du cinéma. Il souligne également l’influence des réalisateurs établis comme Christopher Nolan sur la direction créative des films, même au-delà de leurs propres projets. Enfin, il invite les lecteurs à se questionner sur l’impact de ces dynamiques sur l’expérience cinématographique et sur la diversité des visions artistiques présentes sur grand écran.

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